What a brand new study of infections among healthcare workers vaccinated against COVID-19 found

Preventing and reducing the severity of COVID-19 infections remains one of the issues of greatest concern to the global scientific community. More than a year and a half since the start of the coronavirus pandemic, amid the emergence of new variants and with more vaccines created and studied against the clock, post-vaccination infections are another problem that is closely followed in research by laboratories around the world. .

Now alright what’s going on with him personal health?, those who work on the front line, for the most part already vaccinated all over the world. We know it : Healthcare workers have been on the front lines in the fight against the pandemic and prioritized for immunization when COVID-19 vaccines became available.

Italy, to give an example, became the first European country to make COVID-19 vaccination mandatory for healthcare workers on April 1, to contain a third wave of the disease. This ordinance was also intended to protect healthcare workers from criminal liability after administration of the vaccine.

As it became known in the last hours the city of new York force workers in its medical centers and public hospitals get vaccinated or tested for the coronavirus every week, a measure that attempts to compensate for an insufficient vaccination rate among health personnel.

It is estimated that the new standard will affect to over 10% of the 300,000 people who work for New York City. Currently, about a third of the toilets in the metropolis they were not inoculated.

The study inside

Although vaccines are effective in preventing infection in most cases, some cases of post-vaccination infections have been reported, raising concerns about the efficacy of the vaccine.

These conclusions takes place in study that the scientific journal The Lancet, who have studied the effectiveness of vaccines COVID-19[feminine pour prévenir et réduire la gravité des infections post-vaccinales chez les travailleurs de la santé.

L’investigation examiné 28 342 personnes vaccinées avec le SRAS-CoV-2. Cet univers comprenait médecins, infirmières, ambulanciers, personnel administratif et personnel de soutien. Les infections ont eu lieu au cours des cinq premiers mois après la vaccination (du 16 janvier au 15 juin 2021). Les médecins ont travaillé dans 43 hôpitaux dans 24 villes indiennes. Les vaccins administrés étaient le CovishieldTM, (Serum Institute, Inde) et un vaccin cellulaire inactivé à virions entiers (CovaxinTM, Bharat Biotech, Inde)

Plusieurs paramètres ont été évalués tels que l’âge, le sexe, le moment de l’infection, le type de vaccin, les infections après une et deux doses, la répartition mensuelle et régionale des cas, la gravité clinique de l’infection, l’hospitalisation et l’unité de soins intensifs.

Parmi les découvertes Il a été constaté qu’il y avait des cas symptomatiques dans un faible pourcentage de vaccinés et ceux-ci étaient principalement bénins, par conséquent, ils n’ont pas eu besoin d’hospitalisation ou d’admission aux soins intensifs ou se sont soldés par un décès. Tous les vaccins ont fourni une protection similaire, avec des incidences d’infections post-vaccinales allant de 5 % à 11 % et de 4 à 58 %.

Un autre des résultats de cette recherche pré-imprimée, qui n’a pas encore été évaluée par des pairs, indique que les infirmières de plus de 50 ans ont contracté plus d’infections et ceux qui ont été vaccinés avec deux doses, ils ont considérablement réduit les chances de développer la maladie. Les infections maximales se sont produites pendant le pic de la deuxième vague de COVID-19 de la mi-avril à mai 2021.

Parmi les conclusions tirées par l’étude, la Des infections post-vaccination se sont produites chez un petit pourcentage (5,07 %) de travailleurs de la santé vaccinés. “La vaccination a empêché l’apparition d’une maladie grave pouvant entraîner une hospitalisation, une admission en soins intensifs et la mort. Le vaccin COVID-19 a eu un impact positif significatif sur la minimisation de l’incidence des infections post-vaccination.

D’un autre côté, Le personnel infirmier et clinique, les travailleurs de la santé de plus de 50 ans et les travailleurs de la santé de l’ouest de l’Inde ont été significativement plus touchés par les infections post-vaccinales.

Il y avait une réduction significative de l’incidence des infections post-vaccination après avoir reçu des doses uniques de vaccin. “Les deux doses de vaccination sont moins susceptibles de développer des infections après la vaccination”précise l’étude.

La répartition par sexe était presque la même : 14 980 hommes et 13 362 femmes. L’incidence des infections post-vaccinales était légèrement supérieure à celle des hommes (5,33 % hommes et 4,85 %), c’est-à-dire qu’il n’y avait pas d’influence significative du sexe ou du type de vaccin reçu sur l’incidence des infections post-vaccinales dans ce multicentre. étudier.

Le personnel de santé, la priorité en Italie, en France et en Grèce

Cette semaine à Italie, La France et la Grèce ont rendu la vaccination contre le coronavirus obligatoire pour tous les travailleurs de la santé. Ces pays ont également restreint de nombreuses activités quotidiennes aux personnes vaccinées – dans le cas de la France, un test PCR négatif ou un test d’immunité est également accepté.

Macron a en outre annoncé que le personnel de santé et ceux qui travaillent avec des personnes fragiles, les employés des maisons de retraite, Ils auront l’obligation de se faire vacciner avant le 15 septembre, et dès lors il y aura des pénalités pour ceux qui ne le feront pas. Le président français a laissé entendre que son gouvernement envisageait même d’étendre la vaccination obligatoire à tous les Français. “En fonction de l’évolution de la situation, nous devrons certainement nous poser la question de la vaccination obligatoire pour tous les Français”, a-t-il déclaré dans une allocution télévisée à la nation.

Pendant ce temps, la vaccination de tout le personnel de santé sera obligatoire en Grèce, a annoncé lundi dernier le Premier ministre grec Mitsotakis dans un discours à la nation, pour encourager la vaccination contre la propagation de la variante Delta du covid-19.

Toutes les personnes qui travaillent dans résidences pour personnes âgées, ils devront être vaccinés d’ici le 16 août, sinon ils ne pourront pas travailler, a précisé le Premier ministre. Parallèlement, il a expliqué qu’à partir du 1er septembre, la vaccination du personnel médical est obligatoire dans les secteurs Publique Oui privé, lorsque 99% des personnes intubées ne sont pas vaccinées.

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