WHO warns that in 3 weeks, deaths from COVID-19 will exceed those in 2020



[ad_1]

Tedros Adhanom Ghebreyesus, Director of the World Health Organization (EFE)
Tedros Adhanom Ghebreyesus, Director of the World Health Organization (EFE)

At the current rate, within three weeks, deaths this year alone from COVID-19[femininedépassera tous ceux enregistrés en 2020, a déclaré aujourd’hui le directeur général de la Organisation mondiale de la SANTE (QUI), Tedros Adhanom Ghebreyesus. Les contagions signalées depuis le début de 2021 dépassent déjà celles enregistrées la première année de la pandémie, a ajouté le chef de l’Organisation.

Tedros Il a également averti que, bien qu’il y ait une troisième semaine consécutive de diminution des cas “la situation mondiale est très fragile et aucun pays ne peut dire qu’elle est sûre».

En même temps, Tedros Il a rapporté que au moins 115000 agents de santé sont décédés à ce jour du coronavirus, selon les données proposées aujourd’hui par l’OMS. Le chiffre a été détaillé par le directeur général de l’agence lors de son discours lors de l’inauguration de l’assemblée annuelle de l’entité de santé qui a lieu en Genève.

Jusqu’à aujourd’hui, depuis le début de la pandémie, le coronavirus continue de progresser et ajoute plus de 3,4 millions de morts et plus de 166,5 millions de personnes infectées.

Dans un autre passage de son allocution, le directeur de l’OMS a souligné que ce ne sera pas la dernière fois que l’humanité sera confrontée à une pandémie similaire et qu’elle devrait être préparée pour de futurs épisodes. “Ne vous y trompez pas: ce ne sera pas la dernière fois que le monde sera confronté à la menace d’une pandémie. C’est une certitude évolutionnaire qu’il y aura un autre virus avec le potentiel d’être plus transmissible et plus mortel que celui-ci.“, Il a dit.

La pandémie COVID-19 a été provoquée par un virus hautement transmissible. Mais elle a été accélérée par la division, les inégalités et la négligence historique des investissements en préparation.», A-t-il souligné Tedros respect à virus né à Wuhan, en Chine, en décembre 2019.

Le directeur de la L’OMS a également évoqué ce qu’elle a qualifié d ‘”inégalité scandaleuse” concernant la distribution des vaccins: “plus de 75% des vaccins ont été administrés dans seulement 10 pays” et cela, à son avis, «perpétue» la pandémie. En ce sens, Tedros a exhorté les pays membres de cette organisation à soutenir un effort massif pour vacciner au moins 10% des habitants de chaque pays d’ici septembre et 30% d’ici la fin de cette année 2021.

L’origine de la pandémie

Il y a des doutes croissants quant à l’émergence possible du coronavirus qui a déjà causé des millions de morts dans le monde. Les versions sur une éventuelle fuite d’un laboratoire de Wuhan sont de plus en plus solides. Le dernier, une enquête du prestigieux journal Le journal de Wall Street des États Unis.

La Chine, quant à elle, fait de son mieux pour contrecarrer toute tentative de découvrir la vérité. Et Washington a les yeux sur la question. Récemment, Un rapport du renseignement américain affirme que trois chercheurs de l’Institut de virologie de Wuhan sont tombés malades en novembre 2019 et ont dû recevoir des soins hospitaliers. Cette information est en phase avec les experts qui dénoncent que le virus s’est échappé du laboratoire de la ville chinoise. Selon le rapport, en 2019 plusieurs scientifiques du laboratoire de Wuhan ils sont tombés malades “avec des symptômes compatibles à la fois avec le COVID-19 et les maladies saisonnières courantes.

La révélation de cet épisode se produit à la veille de la 74e Assemblée mondiale de la Santé (AMS, qui aura lieu du 24 mai au 1er juin), organisé par l’OMS, qui discutera, entre autres sujets, de la nécessité d’ouvrir une nouvelle enquête sur l’origine du coronavirus.

Peter Daszak et Thea Fischer, membres de l'équipe de l'Organisation mondiale de la santé (OMS) chargée d'enquêter sur les origines de la maladie à coronavirus (COVID-19), dans une voiture arrivant à l'Institut de virologie de Wuhan à Wuhan le 3 février dernier.  La collaboration des autorités du régime au laboratoire a été limitée (Reuters)
Peter Daszak et Thea Fischer, membres de l’équipe de l’Organisation mondiale de la santé (OMS) chargée d’enquêter sur les origines de la maladie à coronavirus (COVID-19), dans une voiture arrivant à l’Institut de virologie de Wuhan à Wuhan le 3 février dernier. La collaboration des autorités du régime au laboratoire a été limitée (Reuters)

La nouvelle révélation des services de renseignement américains fournit une information clé: novembre 2019. Cette date est importante car au moment où les scientifiques du laboratoire de Wuhan sont tombés malades avec des symptômes similaires au coronavirus, les premiers cas de COVID-19 sont également apparus dans la ville chinoise ces jours-là. Pékin a signalé le premier cas d’une personne malade le 8 décembre 2019.

La Chine a hésité à partager des informations permettant aux experts de mieux enquêter et de découvrir l’origine de cette pandémie, qui a tué près de trois millions et demi de personnes dans le monde. Par exemple, Pékin n’a pas fourni les données brutes ou les enregistrements du laboratoire de Wuhan sur les recherches approfondies qu’ils ont menées sur le coronavirus chez les chauves-souris, a-t-il rapporté. Le journal de Wall Street.

CONTINUER À LIRE:

Ils ont révélé que les scientifiques du laboratoire de Wuhan étaient tombés malades avec des symptômes similaires au coronavirus peu de temps avant le début de la pandémie en Chine.
Dans une lettre ouverte, des scientifiques du monde entier ont rejeté le rapport de l’OMS sur l’origine du COVID-19 et ont exigé une nouvelle enquête.



[ad_2]
Source link