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Guy-Brice Perfect Kolélas, main opposition candidate in the presidential elections which took place on Sunday Republic of Congo, died of coronavirus, days after being diagnosed with COVID-19[feminineet lors de votre évacuation vers France. Selon les informations recueillies par la station Radio France Internationale, Collage Il est décédé dans l’avion qui l’emmenait dans le pays européen, un jour après être apparu dans une vidéo postée sur les réseaux sociaux, assisté d’un respirateur mécanique que l’on retire de la bouche pour s’adresser à la population.
“J’ai des ennuis, je combat la mort, je te demande de voter pour le changement», A déclaré le candidat de la Union des démocrates humanistes (UDH) de l’hôpital de la capitale, Brazzaville.
Christian Cyr Rodrigue Mayanda, responsable de campagne de Collage, a souligné après sa mort que “le décompte des voix continuera“Et a ajouté que”Je dirigeais dans plusieurs endroits». De même, il a convoqué ses partisans à une réunion ce lundi.
Collage, fils de l’ancien premier ministre Bernard Kolélas, a terminé deuxième aux élections présidentielles de 2016 et cette fois, il était le principal rival du président, Denis Sassou Nguesso, qui est pourtant le favori pour remporter à nouveau la victoire et réaliser un sixième mandat à la tête du pays.
Le politicien de 61 ans a été vu pour la dernière fois dans une vidéo diffusée samedi sur les réseaux sociaux, dans laquelle il a dit à ses partisans qu’il «combattait la mort». Son équipe a déclaré plus tard qu’il serait évacué vers la France pour un traitement supplémentaire. Son porte-parole a confirmé sa mort lundi à The Associated Press.
On s’attendait à ce que roues, qui a remporté 15% des voix aux élections de 2016, terminera deuxième aux élections, derrière le président N’Guesso qui est au pouvoir depuis plus de 36 ans et est l’un des dirigeants africains les plus anciens.
Le président de 77 ans est arrivé au pouvoir en 1979 et est resté en fonction jusqu’en 1992, date à laquelle il a été battu aux urnes. Cependant, il est revenu à la présidence à la suite des forces insurgées qu’il a lui-même dirigées pendant la guerre civile de 1997, sans avoir depuis quitté ses fonctions.
Sa dernière victoire électorale, en 2016, a eu lieu après une série de réformes de la Constitution congolaise afin qu’il puisse briguer un nouveau mandat. Les modifications comprenaient l’élimination des limites d’âge et des mandats, ce qui l’aurait empêché d’aller aux urnes.
Cependant, le président devrait être facilement réélu, étant donné que le principal parti d’opposition du pays, le Union panafricaniste pour la social-démocratie (UPADS), a annoncé qu’elle boycotterait le vote, ce qui pourrait ouvrir la voie à la victoire.
Le boycott a été rejoint par le Conseil national des républicains (CNR), dirigé par le chef rebelle Frédéric Bintsamou, alias ‘Pasteur Ntoumi‘, qui a pris les armes en 2016 après la réélection de Sassou Nguesso et qui à cette occasion, au contraire, a appelé au calme avant le rendez-vous aux urnes.
(Avec des informations de l’Associated Press et d’Europa Press) .-
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