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The Corona virus pandemic Not finished yet. But more than a year after the first reported case and almost twelve months after the official statement by the World Health Organization (WHO), the situation has changed dramatically in many ways.
Although the world is still done going through this pandemic, it is already looking to the future with the aim of preventing new situations like the one caused by the coronavirus. The advancement in the development and application of vaccines has been one of the reasons that have opened up the possibility of looking ahead and thinking about what the future will be.
In this sense, several experts have warned against the possibility of new pandemics or the appearance of viruses that trigger situations even more deadly and serious than the COVID-19[feminine.
En fait, un expert a souligné ces derniers jours que est susceptible d’apparaître “Un autre virus qui cause des dégâts encore plus importants et qui est beaucoup plus mortel chez les jeunes“.
“Le coronavirus a respecté les jeunes, mais si un virus similaire à la variole arrive, ce qui est beaucoup plus mortel, cela pourrait être beaucoup plus grave“a déclaré le scientifique et neurologue Juan Fueyo dans le programme laSexta noche de España.
Le scientifique a également assuré que l’arrivée d’un virus beaucoup plus mortel pourrait signifier qu’il est moins contagieux, car il aurait moins de facilité à se répliquer si le taux de mortalité était trop élevé. Bien que selon le scientifique, Ça existe “une possibilité qu’il y ait un virus intermédiaire qui pourrait causer une tragédie. “
Dans son livre “ Viral: l’histoire de la lutte éternelle de l’humanité contre les virus ”, le neurologue commence par avertir que le «surpeuplement des villes et la mondialisation» sont un avantage pour les futurs virus.
“Il est très possible que notre génération souffre d’une apocalypse et qu’un virus tue 3,5 milliards de personnes dans les dix prochaines années“, Fueyo a assuré au début de son livre, un ouvrage préfacé par Maria Neira, Directeur de la santé publique et de l’environnement de l’Organisation mondiale de la santé (OMS). Fueyo, concentré sur le génie génétique des virus depuis des années, passe en revue la crise actuelle dans son livre et prédit que la pire pandémie “est celui à venir.”
“Un canard infecté par un virus en Thaïlande est un danger pour n’importe quel quartier d’Espagne dans quelques heures. Regardez celui qui a armé un virus infectant une chauve-souris dans une ville de Chine dont nous n’avions jamais entendu parler”, a rappelé le scientifique.
En ce sens, Fueyo a expliqué que les experts s’attendaient à une pandémie de grippe aviaire au lieu d’un coronavirus, mais que ce scénario ne s’est pas produit maintenant ne signifie pas qu’il devrait être exclu à l’avenir.
“Nous sommes à l’un des pics majeurs de la pandémie et nous devons en tirer des leçons, produire des changements au sein du gouvernement et des institutions internationales, et une façon de le faire est de faire des prévisions drastiques, mais fondées sur des données >>, a expliqué le neurologue lors de l’entretien
Aussi, je recommande: “L’une des choses les plus importantes à faire est de créer une commission pandémie “. L’expert a également demandé aux politiciens de “oubliez de politiser les deux choses qui ne sont pas «politisées», comme les masques et les confinements “.
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