Quarantine stories in Europe told by Argentines – Viva la radio



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Spain has recorded a total of 23,700 infections in the past 24 hours, the worst daily data in the past two months, plus 352 new deaths.

“In Spain so far, a total of 1,958,844 confirmed cases and 51,078 deaths have been reported,” summarizes the situation report released on Tuesday by the Ministry of Health.

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Since October 25, the Iberian country has been under a new state of alert which allows regions to apply measures limiting mobility and social activity, night curfews, perimeter closures or bar closures, depending on the situation in each territory.

“In Barcelona there is a curfew and from 10 p.m. nobody can walk around unless they have a permit. Usually the streets are desolate at night and people respect them because fines cost more. 500 euros, ”he said. Argentinian Rodrigo González to Channel 3.

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En ce qui concerne les restrictions des magasins, la plupart d’entre eux peuvent ouvrir normalement pendant la semaine, mais le week-end, seuls les essentiels sont activés, comme les supermarchés et les pharmacies.

“Il y a beaucoup de démission et, à l’exception d’un petit groupe, la majorité se conforme. Les propriétaires d’entreprises sont inquiets, et surtout le secteur hôtelier”, a-t-il ajouté.

Le gouvernement italien a également prolongé, au moins jusqu’au 15 janvier, le couvre-feu nocturne et interdira les mouvements entre régions jusqu’à cette date pour faire face au coronavirus.

L’exécutif du Premier ministre Giuseppe Conte a décidé qu’il maintiendrait une semaine de plus la restriction aux mouvements sans justification entre 22 heures et 5 heures du matin, déjà en vigueur au niveau national jusqu’au 7 janvier, avec laquelle il cherche à limiter les sorties nocturnes qui peuvent conduire à nouvelles flambées de coronavirus.

“Nous traversons des moments difficiles et depuis le 21 décembre, vous ne pouvez plus sortir. L’Italie est divisée en trois zones et la Lombardie a été classée en rouge, nous ne pouvons donc aller qu’au supermarché”, a-t-il déclaré. Chaîne 3 Yudith Dubersarsky, un Argentin qui vit à Lago di Como, près de Milan.

Il a précisé que les enfants et adolescents ne sont pas scolarisés, que la majorité respecte les mesures car les amendes sont chères (elles vont de mille euros) et a appelé à sensibiliser les Argentins face à une éventuelle deuxième vague d’infections.

Enfin, Virginia Domina, de Bruxelles, Belgique, a déclaré que depuis octobre, les mesures visant à empêcher la propagation du Covid-19 ont été modifiées.

“La plupart des gens travaillent à domicile, ce qui est la règle ou la recommandation. De nombreuses entreprises sont fermées et ne pourraient ouvrir que le 18 décembre”, a-t-il ajouté.

Cependant, les bars et restaurants restent fermés. “Il n’est permis de voir qu’une personne en dehors du cercle familial. Et, au cas où vous vivriez seul, de pouvoir vous voir avec deux personnes. Ce peuple respectait beaucoup pour les fêtes de fin d’année”, a-t-il déclaré.

Les indicateurs Covid-19 baissent en Belgique après Noël, contrairement aux pays voisins comme l’Allemagne, les Pays-Bas ou le Royaume-Uni, qui ces derniers jours ont dû resserrer les restrictions en raison de l’escalade des infections.

Rapport de Raúl Monti et Geo Monteagudo.

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