Julian Assange poursuit en justice des conditions "inhumaines" et "dénigre" les obligations du chat dans l'ambassade équatorienne



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Mis à jour

20 octobre 2018 10:51:23

Le fondateur de WikiLeaks, Julian Assange, a intenté une action en justice en Équateur contre les nouvelles conditions d'asile imposées à l'ambbadade de Londres dans le pays andin, l'obligeant à payer ses frais médicaux, ses appels téléphoniques et à nettoyer après son chat, selon son avocat.

Points clés:

  • L'avocat d'Assange dit que son internet a été coupé en mars et qu'il est détenu dans des "conditions inhumaines"
  • La présidente équatorienne, Lénine Moreno, hésite à faire sortir M. Assange de son poste
  • Les Australiens craignent qu'il ne soit livré aux États-Unis s'il part

L'Équateur a créé ce mois-ci le nouveau protocole régissant le séjour de l'Australien à l'ambbadade.

L'avocat Baltasar Garzon a déclaré lors d'une conférence de presse à Quito, la capitale de l'Équateur, que les règles avaient été élaborées sans consulter M. Assange, qui poursuit actuellement le ministre des Affaires étrangères, Jose Valencia, devant un tribunal de Quito.

M. Assange n'a pas accès à Internet depuis sa fermeture en mars, a ajouté M. Garzon, en dépit d'une déclaration de WikiLeaks cette semaine selon laquelle il avait été restauré.

"Il est détenu dans des conditions inhumaines depuis plus de six ans", a déclaré M. Garzon.

"Même les personnes emprisonnées reçoivent des appels téléphoniques payés par l'État", a-t-il ajouté, qualifiant les obligations à l'égard du chat de "dénigrantes".

M. Garzon a déclaré que M. Valencia avait été nommé dans le procès parce qu'il avait servi d'intermédiaire entre M. Assange et le gouvernement équatorien.

M. Valencia a déclaré que le gouvernement répondrait "de manière appropriée". "Le protocole est conforme aux normes internationales et à la législation équatorienne", a-t-il déclaré à la presse.

Le séjour de M. Assange est devenu une gêne croissante pour le président équatorien, Lenin Moreno, qui a déclaré que M. Assange ne pouvait pas rester à l'intérieur de l'ambbadade, mais hésitait à le renvoyer de l'ambbadade en raison d'inquiétudes quant à ses droits humains.

M. Assange pense qu'il sera livré aux États-Unis pour y être poursuivi en justice pour la publication par WikiLeaks de centaines de milliers de documents militaires et diplomatiques clbadifiés s'il part.

En 2012, l'ancien président équatorien Rafael Correa a accordé l'asile à M. Assange alors qu'il cherchait à éviter l'extradition vers la Suède pour interrogatoire sur des crimes présumés d'agression baduelle.

La Suède a par la suite abandonné son enquête, mais la Grande-Bretagne a annoncé qu'il serait arrêté pour violation des conditions de sa caution s'il quittait l'ambbadade.

En 2017, l'Équateur a octroyé la citoyenneté à M. Assange et l'a nommé à un poste diplomatique en Russie, mais l'a annulé après que la Grande-Bretagne eut refusé de lui accorder l'immunité diplomatique, selon un document du gouvernement équatorien vu par Reuters.

Reuters

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D'abord posté

20 octobre 2018 10:35:01

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