de nouvelles accusations de pollutions portées devant les tribunaux



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Au bord de la rivière Isère, une cbadisation directement reliée à une usine. Cette fromagerie, filiale de Lactalis, rejette ses effluents industriels dans la rivière. Des déchets organiques comme le lait caillé, mais aussi des substances chimiques selon plusieurs badociations de protection de la nature. De l’hypochlorite de soude, du peroxyde d’hydrogène ou encore de l’acide nitrique. Trois agents toxiques pour le milieu aquatique.

Nous avons contacté Lactalis, qui conteste la toxicité de ces rejets. “Les produits lessiviels utilisés pour le lavage de nos installations sont très fortement dilués (…). Au taux utilisé il n’y a pas de risque”, répond le groupe. Pourtant, la préfecture de l’Isère exige que l’entreprise traite ses eaux usées. Un bras de fer qui se poursuit devant les tribunaux. En attendant une décision judiciaire, les rejets de l’étoile du Vercors continueront de se déverser dans cet écrin naturel.

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