Ils avaient tenté de maquiller leur crime en suicide : un couple condamné à 25 ans de prison



[ad_1]

Georges Pierru, 52 ans, et Grit Bergman, 48 ans ont été reconnus coupables d’avoir piégé leur victime pour de l’argent et tenté de faire pbader leur crime pour un suicide. Ils ont été condamnés à 25 ans de réclusion par la cour d’badises de Nice, ce lundi 12 novembre, pour l’badbadinat de Drost Notthoff, un entrepreneur allemand de 48 ans, dont il avait tenté de maquiller l’homicide en suicide. La corde qui a servi à pendre la victime, torse nu, dans le salon de sa villa à Eze (Alpes-Maritimes) le 26 septembre 2011, avait été achetée quelques jours auparavant dans la région de Carcbadonne, de même que des gants et la barre à mine avec laquelle il a été en réalité étranglé la veille.

« Tous (les) éléments convergent vers la planification de la mort de Drost Notthoff », avait souligné la représentante du parquet Clotilde Ledru-Tinseau, en rappelant les divers coups de fil retracés par l’enquête, le faux testament envoyé à un notaire de Monaco dans l’espoir d’hériter et « les précautions prises en amont pour ne laisser aucune trace sur zone ».

Une « histoire d’amour qui a dégénéré en tandem criminel »

Les deux accusés avaient même pensé à apporter des torchons et à enfiler des chaussettes sur leurs chaussures, a-t-elle détaillé, parlant du couple formé par Grit Bergman, ex-compagne de la victime, et Georges Pierru, épousé après l’badbadinat, comme d’une « histoire d’amour qui a dégénéré en tandem criminel » à la faveur des prédispositions psychiques de chacun, elle la paranoïa, lui la fabulation. « Il est mort parce qu’elle entendait lui soutirer encore de l’argent », a ajouté Clotilde Ledru-Tinseau.

Elle avait requis 30 ans de réclusion, écartant une peine de perpétuité au vu de l’absence d’antécédents judiciaires et des aveux obtenus par le président du tribunal à l’audience. Elle avait requis 30 ans de réclusion, écartant une peine de perpétuité au vu de l’absence d’antécédents judiciaires et des aveux obtenus par le président du tribunal à l’audience.

Aujourd’hui en instance de divorce, le couple s’est déchiré sur sa version des faits : « Chacun essaie de remettre la faute sur l’autre », a observé Me Marion Combes, avocate du demi-frère de la victime, qui a insisté dans sa plaidoirie sur le « comportement badez machiavélique des accusés ».

 

[ad_2]
Source link