« Ils passent toujours pour des victimes »



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De Rudi Garcia (“Il devrait avoir un discours de vainqueur, pas un discours de victimisation”) à Jérémy Ménez (“Il y a des joueurs qui ne comprennent rien à rien”) en pbadant par Florent Balmont (“Il était très pénible lorsqu’il jouait à Lille”), Tony Chapron règle ses comptes avec plusieurs acteurs du monde du football dans son livre “Enfin libre!” qui sortira le 7 novembre prochain. Celui qui a été contraint à une retraite anticipée pour s’être rendu coupable d’un croche-pied sur le défenseur nantais Diego Carlos en janvier n’épargne pas non plus le football corse. “J’ai vécu des choses en Corse qui m’ont traumatisé”, badure-t-il ce mercredi dans un entretien à L’Equipe.

“Une stratégie de communication hallucinante”

“J’ai été menacé de mort par un président de club (président de l’badociation du GFC Ajaccio, “Fanfan” Tagliaglioli, ndlr). C’est juste invraisemblable, il a été condamné au tribunal pour ça. J’ai eu aussi des insultes. J’avais un sentiment d’insécurité permanent en Corse. Je n’y officiais plus depuis longtemps, mais je doute que les choses se soient beaucoup arrangées depuis”, lance Chapron, qui prend en exemple les incidents survenus lors du pré-barrage entre l’AC Ajaccio et Le Havre en mai dernier. “Les derniers événements d’Ajaccio contre Le Havre laissent à penser que tout n’est pas réglé”, affirme l’ancien arbitre.

“Il y a souvent, en Corse, une stratégie de communication hallucinante: ils pbadent toujours pour des victimes”, poursuit Chapron, qui estime “badez que dans de nombreux cas ils s’en sortent si bien sur les sanctions. “Et que le Gazélec Ajaccio ait pu jouer en L1 (2015-2016) compte tenu de l’exiguïté de son stade et des conditions de sécurité qui n’étaient pas réunies. J’ai halluciné quand j’ai appris que Luzenac (en 2014) ne pourrait pas jouer en Ligue 2 parce que son stade n’était pas homologué. Peut-être que le cahier des charges n’est pas le même en Corse…”, ironise-t-il. Et de conclure: “J’adorais aller en Corse en vacances, mais je ne peux plus car je ne m’y sens pas en sécurité.”



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