Le baromètre NBA des Français : Rudy Gobert en vitesse de croisière – Basket



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Les statistiques concernent les matches du 5 au 12 novembre

Ses stats : 15,6 points à 73 %, 13,3 rebonds, 2,5 contres, 2 pbades et 1,3 balle perdue en 33 minutes (4 matches)

Pour le Picard, la victoire obtenue lundi à Memphis a beaucoup de valeur car les Grizzlies avaient battu le Jazz lors de leurs deux premiers duels en limitant son impact (11 et 9 points, ses deux plus petits totaux de la saison). Elle illustre la capacité de Gobert à surmonter les difficultés puisqu’il a inscrit l’intégralité de ses 15 points en seconde mi-temps en appliquant à la lettre le plan de Quin Snyder, qui a salué son travail. Le pivot du Jazz atteint progressivement sa vitesse de croisière, sa présence dans la raquette ouvrant des espaces de mieux en mieux exploités par ses coéquipiers, et le Jazz monte en puissance (3 succès après 4 revers).

Ses stats : 11,3 points à 55 %, 3 pbades, 1,7 rebond, 0,7 interception, 1 balle perdue en 21 minutes (3 matches)

Tout Charlotte est tombé en amour avec Parker. Ses 24 points dimanche à Detroit (alors qu’il en avait cumulé 22 lors des trois matches précédents) ont déclenché une vague de superlatifs, au point qu’il est de plus en plus considéré comme le deuxième joueur le plus important de l’équipe derrière Kemba Walker. Ce dernier, leader objectif des Hornets, considère « TP » comme le leader moral. Et le coach des Pistons avait prévenu ses joueurs : les Hornets sont plus dangereux quand Parker joue avec Walker. « On se repose tous sur lui parmi les remplaçants, sur sa capacité à maintenir tout le monde dans le cadre », appuie l’ailier Michael Kidd-Gilchrist.

Ses stats : 17,8 points à 45 %, 34 % à 3 points, 4,6 pbades, 2,8 rebonds, 2 interceptions, 0,6 contre et 2 balles perdues en 30 minutes (5 matches)

La semaine dernière avait très bien commencé pour Fournier, auteur du panier de la victoire contre Cleveland. « J’ai fini par bien shooter mais j’ai encore raté trop de tirs ouverts avant, c’est incroyable », regrettait-il pourtant. Deux jours plus tard, il a marqué 27 points (dont 11 dès le premier quart-temps) à 12/19 mais le Magic a perdu à Detroit. Ensuite, Orlando a gagné deux fois mais il a tiré à 6/17 et 5/13. Bref, une semaine sinusoïdale, à l’image de sa saison, mais toujours sur un volume de jeu élevé, de joueur majeur. C’est sans doute le plus important.

Ses stats : 4,3 points à 33 %, 14 % à 3 points, 2 pbades, 1 rebond, 0,5 interception, 0,5 balle perdue en 12 minutes

Le rôle d’Okobo est aujourd’hui gravé dans le marbre. Alors que le meneur titulaire Isaiah Canaan prend les deux tiers du temps de jeu à ce poste, le Bordelais joue à chaque fois l’équivalent d’un quart-temps, avec des pointes cette semaine à 8 points (à New Orleans) et 5 pbades décisives (à OKC). Une stat, cependant, est à retenir le concernant : malgré les grandes difficultés rencontrées par les Suns (quatre défaites de suite, série en cours, avec un écart moyen de 16,5 points), il n’a plus rendu un = /- (l’écart au score quand il est sur le parquet) négatif depuis trois matches.

Nicolas Batum (Charlotte)

Ses stats : 6,7 points à 40 %, 44 % à 3 points, 5 rebonds, 3 pbades, 1,3 interception, 2,3 balles perdues en 28 minutes (3 matches)

« Batman » n’a pas encore marqué plus de 10 points en une rencontre en novembre. Il est même pbadé sous cette barre lors de trois des quatre derniers matches, autant que lors des neuf précédents. Le coach Steve Clifford semble n’en avoir cure, continuant de s’appuyer sur sa polyvalence et son altruisme en lui offrant un temps de jeu conséquent (33 minutes contre Atlanta, 34 contre Detroit). Et les Hornets sont potentiellement qualifiés en play-offs.

Ses stats : 3 points à 50 %, 1,5 rebond, 1 contre, 0,5 balle perdue en 10,5 minutes (2 matches)

Le Normand a participé aux deux victoires des Wizards, samedi à Miami et lundi contre Orlando, alors qu’il n’était pas entré en jeu lors des trois rencontres précédentes, le coach Scott Brooks préférant jouer sans intérieur quand Dwight Howard sortait du terrain. L’axe de progression du Normand est clair et ne date pas d’hier : il doit faire moins de fautes (3,5 en 17 minutes de moyenne en octobre). Il n’en a fait qu’une seule en 21 minutes lors de ses deux dernières sorties.

Frank Ntilikina samedi à Toronto. ( J.E.Sokolowski/USA Today/Presse Sports)
Frank Ntilikina samedi à Toronto. ( J.E.Sokolowski/USA Today/Presse Sports)

Frank Ntilikina (New York)

Ses stats : 4,8 points à 26 %, 23 % à 3 points, 2,3 pbades, 1,5 rebond, 1,3 interception, 1,8 balle perdue en 17,5 minutes (4 matches)

Il va falloir être vigilant sur l’utilisation que fait David Fizdale du Français lors des prochains matches, d’autant que le coach a rappelé dimanche soir que la situation « n’est pas gravée dans la pierre » à son poste. Ntilikina n’a plus rejoué après son début de match raté (à l’image de tous les Knicks) dimanche face à Orlando. Sa maladresse couplée à son trac offensif pourraient le faire reculer dans la hiérarchie, même si l’ancien Strasbourgeois a pour lui sa défense et… le fait que ses concurrents ne soient pas plus en vogue. Ce n’est sans doute pas un hasard si la rumeur que New York voudrait faire venir le meneur de Boston Terry Rozier a resurgi la semaine dernière.

Guerschon Yabusele (Boston) n’a joué que 5 minutes dans une victoire sur Phoenix (0 point à 0/1, 2 rebonds, 1 pbade, 1 balle perdue). Il est resté sur le banc lors de trois autres. Timothé Luwawu-Cabarrot (Oklahoma City) n’a joué que quelques secondes à la fin de chacun des trois derniers matches du Thunder. Sa seule stat : un tir raté contre Dallas.


X.C.



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