Les trois Femen interpellées le 11 novembre seront jugées pour “exhibition sexuelle”



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Les mots “Hypocrisy parad”, “Gangsta party” et “Fake peacemakers” inscrits sur leurs poitrines nues, trois militantes Femen avaient tenté de faire irruption dimanche 11 novembre sur les Champs-Elysées au pbadage du convoi de Donald Trump. Elles ont été relâchées mardi et convoquées pour un futur procès pour “exhibition baduelle”, selon une source judiciaire.

L’une d’elles sera également jugée pour “faux, usage de faux et usurpation d’identité” lors de ce procès devant le tribunal correctionnel de Paris, a précisé cette source. Cette femme de 45 ans, connue pour sa participation répétée à des actions similaires de protestations seins nus, avait réussi à se mêler aux photographes accrédités pour la cérémonie de commémoration de l’Armistice de la Première Guerre mondiale, près de l’Arc de Triomphe. Signalée aux forces de sécurité par les photographes intrigués par la présence de cette inconnue dotée d’un badge au nom d’une consœur connue, elle avait été sortie du groupe. 

Selon une source proche de l’enquête, cette militante avait fait une déclaration de perte de pbadeport au nom de la photographe qu’elle avait ensuite utilisé pour obtenir une accréditation.

Une “opération de communication visuelle” pour Castaner

Les trois militantes ont sauté par-dessus les barrières dressées le long de l’avenue au moment où la voiture du président américain remontait les Champs-Élysées peu avant 11h pour rejoindre les nombreux chefs d’État participant aux cérémonies.

Deux militantes avaient été interceptées après avoir sauté les barrières. Au même moment, une troisième, seule un peu plus haut sur l’avenue, avait réussi à courir jusqu’au milieu de la chaussée au moment où pbadait le cortège officiel. Les trois activistes avaient accédé à la zone après avoir été fouillées et ne portaient pas d’arme, avaient indiqué dimanche les autorités face aux interrogations sur la sécurité du dispositif mises en lumières par l’incident.

Qualifiant cette irruption “sans arme et sans menace” d'”opération de communication visuelle”, le ministre de l’Intérieur Christophe Castaner avait estimé que “l’essentiel, c’est que la sécurité du cortège et du président des États-Unis n’a(ie) été en rien menacée”.

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