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Solide entrée en matière de Richard Gasquet au Rolex Paris Masters. Opposé au talentueux Denis Shapovalov, le Biterrois s’est montré solide pour s’imposer en deux sets (6-4, 7-6[3]) et 1h39 de jeu. Le numéro un français a su contrer la puissance et la fougue du Canadien de 19 ans pour aller chercher sa qualification pour le deuxième tour à Paris. Il y défiera le tenant du titre, Jack Sock, adversaire contre qui il n’a jamais gagné en trois confrontations.
Le duel des générations a pourtant mal débuté pour le Français. Breaké d’entrée de match après une entame timide, Richard Gasquet a semblé dépbadé par la puissance du Canadien. Rapidement mené 3-0, le Biterrois a soudainement repris ses esprits et s’est rapproché de sa ligne pour bousculer Denis Shapovalov. Une tactique payante puisque le joueur de 19 ans a complètement perdu le fil de son tennis, laissant Gasquet remporter cinq jeux de suite. Un break d’avance en poche, le Français a pu conclure la première manche sur son service.
10 doubles fautes
Denis Shapovalov n’a pas baissé les bras et a gommé ses imperfections en début de deuxième set pour prendre le service de son adversaire. Mais comme lors du premier acte, Richard Gasquet ne s’est pas affolé et est revenu au score petit à petit, profitant de nouveau des fautes du Canadien. Sous pression, Shapovalov a craqué sur son service. Avec 10 doubles fautes et seulement 30% de points remportés derrière sa seconde balle, il a perdu pied, et est pbadé totalement à côté de son tie-break.
Ses 34 fautes directes ont également beaucoup compté dans sa défaite. Pour Richard Gasquet, c’est une entame de tournoi parfaite. Une victoire référence face à un adversaire très solide, promis à un bel avenir. Ce lundi, le Biterrois a sans doute marqué des points aux yeux de Yannick Noah, dans l’optique de la finale de Coupe Davis, en proposant un tennis offensif très solide. Au prochain tour il sera opposé au tenant du titre Jack Sock, qu’il n’a jamais battu en trois confrontations. Mais l’Américain est en grande méforme actuellement. A Gasquet d’en profiter.
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