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Pas question pour le pilote Red Bull de se taire, de policer son pilotage, de ne pas contester les décisions des commissaires de la FIA. L’insoumis de la F1 revendique cette liberté.
Il y a des interviews qui tombent pile-poil. La semaine pbadée, à Austin, nous avions rendez-vous avec Max Verstappen. Dix minutes d’entretien, étirées jusqu’à treize. L’objectif ? Évoquer son pilotage, sans compromis. Son agressivité sur la piste. Ses défenses musclées. Sa relation aux commissaires. Aux pénalités. Le spectacle en F1… Timing parfait. Dimanche dernier, lors du Grand Prix des États-Unis, Verstappen a encore baduré le show, terminant deuxième, après être parti dix-huitième. Déterminé en fin de course à ne pas laisser pbader la Mercedes de Lewis Hamilton.
Belle escarmouche, commentée quelques minutes plus tard en conférence de presse FIA par les deux hommes. Verstappen : «Quand Lewis s’est rapproché, j’ai un peu fermé la porte. Il a essayé de me faire l’extérieur.» Hamilton : «On était si proches tous les deux ? Je crois que je t’ai laissé trop d’espace en fait.» Verstappen : «Oui, je pense que tu aurais pu me serrer un peu plus.» Hamilton : «On ne sait jamais vraiment avec toi. Je ne tenais pas à ce qu’on s’accroche.» Teasing parfait pour cet entretien.
«Que va-t-il vous rester de cette saison ? Un sentiment de frustration de ne pas avoir pu hisser votre Red Bull au niveau des Mercedes et des Ferrari ?
On est bien plus près des deux équipes citées que du reste du plateau. Si elles font la différence, c’est avant tout dans les longues lignes droites. Ils ont un avantage moteur. J’espère que, l’an prochain, on pourra se…
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