Rugby | Rugby – XV de France : Gaël Fickou évoque la série de défaites de l’équipe de France



[ad_1]

Rugby

Interrogé sur les mauvaises performances du XV de France, Gaël Fickou fait le constat de la terrible série tricolore en cours.

La dernière défaite du XV de France plonge une nouvelle fois les Bleus dans le doute. Alors que les hommes de Jacques Brunel tenaient une précieuse victoire face à l’Afrique du Sud, Bongi Mbonambi a profité d’une fin de match mal gérée par les Bleus pour crucifier les espoirs tricolores avec un essai dans les dernières secondes (26-29). Une contreperformance qui vient s’ajouter aux nombreux revers subis par l’équipe de France, et qu’a du mal à digérer Gaël Fickou.

« C’est terrible ! On est une équipe en perte de confiance »

Si on a perdu du temps ? On a surtout perdu des matches ! Énormément ! Ce qui fait le plus mal, c’est qu’on en a parfaitement conscience. Jamais on ne s’est dit : “C’est normal, on perd.” En Afrique du Sud (trois défaites en juin 2017), on était anéantis. Montrer une mauvaise image, c’est dur. On sait qu’on déçoit beaucoup de personnes. Mais on ne triche pas, on s’envoie, mais on n’arrive pas à trouver les solutions. On n’a pas badez de confiance, ou pas badez de rythme, on est peut-être parfois trop fatigués. On se donne tellement physiquement et mentalement qu’on est déçus des résultats. On donne tout, mais le jeu nous rattrape et c’est compliqué à gérer. (…) C’est terrible ! On est une équipe en perte de confiance. Il faut rebasculer vers le positif. Face à l’Irlande, tu perds de deux points (13-15). Au pays de Galles, tu perds sur ça (il mime un écart très petit), un détail (défaite 14-13). Ce ne sont pas de meilleures équipes que nous. On a battu l’Angleterre (22-16) en faisant un super match, mais tout le monde ne retient que notre nul face au Japon (23-23). Je suis persuadé qu’on a le potentiel pour être une belle et grande équipe, être dans le top 3 mondial. Mais sur certains matches on déçoit tellement… Le clbadement mondial (8e) fait mal. Mais j’y crois à fond. » explique Gaël Fickou dans les colonnes de L’Équipe.

[ad_2]
Source link