Sport lorrain | L’ASNL reste encore à quai



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Pas de miracle à Francis Le Blé. L’ASNL a logiquement cédé face à une équipe supérieurement armée et qui n’est pas dauphin du leader messin par hasard. Mais les Nancéiens ont affiché durant une mi-temps des progrès intéressants. Dommage qu’ils ne soient pas parvenus physiquement et mentalement à conserver la même solidité et la même qualité après le repos. Brest y est aussi pour quelque chose. Encore une opportunité de ratée.

Les nouveautés sont rares cette saison avec l’ASNL. Il faut donc les savourer. Pour la première fois en quatorze matches, les Nancéiens ont rejoint les vestiaires en menant au tableau d’affichage. Tout arrive. D’une certaine manière, ils ne l’ont pas volé même s’ils ont frôlé la correctionnelle sur une poussée bretonne juste avant le repos. Avant cela, le onze remodelé par Alain Perrin, avec un précieux Anthony Koura relancé en pointe, avait étonnamment bien tenu le choc face à la meilleure attaque de Ligue 2.

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Le live de la rencontre

Robic ouvre son compteur

On s’était pourtant inquiété en voyant les Nancéiens commettre beaucoup de fautes en début de match. Deux cartons à la clé (Coulibaly et Robic) et autant de munitions pour Mathias Autret, l’expert en balistique du Stade Brestois. Heureusement sans conséquence. Cet excès d’engagement était malgré tout un bon signe. L’ASNL était dans le coup. C’est elle qui se créa ensuite les meilleures opportunités. Si Busin manqua une première occasion sur un service en retrait de Koura, Robic exploita parfaitement un raid de Moimbé et un mauvais renvoi de la défense bretonne pour mystifier Larsonneur (0-1, 21’).

Faut-il y voir la touche Alain Perrin ? En tout cas, les Nancéiens s’étaient efforcés de jouer simple, parfois à une touche de balle, avec un résultat plutôt probant, malgré un manque de puissance et d’inspiration en attaque, mal chronique. Brest se réveilla en fin de mi-temps. Mais pour une fois, la chance fut du côté lorrain. La transversale de Chernik repoussa une reprise à bout portant de ce poison de Court, Charbonnier rata le cadre puis Chernik capta une frappe lointaine d’Aybade.

Pas de cbade mais Brest avait trouvé la solution. Un nouveau ballon dans le dos de l’arrière-garde nancéienne fit mouche dès la reprise. Intercalé entre Séka et Moimbé, l’inévitable Charbonnier fit le geste parfait (1-1, 47’). L’ASNL essuya encore une ou deux vagues, sans avarie au bout du compte, Chernik étant tout heureux de voir Faussurier manquer la cible de près (48’) puis Séka jouer au pompier de service (55’).

La bourde de Chernik

L’ASNL parvint à sécuriser de nouveau sa surface et souffla jusqu’à l’amorce du dernier quart d’heure. En revanche, peut-être par manque de gaz, elle ne parvint plus à ressortir aussi proprement et à pousser ses actions, malgré l’arrivée de sang neuf. Seul Busin inquiéta Larsonneur sur coup-franc. A l’inverse, la menace bretonne s’intensifia de nouveau. Notamment sur coups de pieds arrêtés, l’une des grandes forces de la troupe à Furlan.

Pas très rbadurant, Chernik frôla la catastrophe sur une sortie hasardeuse devant Charbonnier (82’) avant de commettre une faute de main fatale sur une tête de Castelletto. Patatras (2-1, 83’). Sur un fil, l’ASNL n’avait surtout pas besoin de ça. Le chemin de croix se poursuit. Et l’accueil du Red Star, dans une douzaine de jours, ressemblera fort au match de la dernière chance.

La 14e journée de Ligue 2

Le clbadement de Ligue 2

Le calendrier de l’ASNL

Le Chardon : N’Guessan La note : 9/20

De notre envoyé spécial P.-H.W.



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