Test du jeu Battlefield V : le roi du FPS multijoueur est bel et bien de retour… sur PC



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Deux années après un Battlefield 1 aussi détonnant qu’étonnant, voilà que DICE revient à la charge avec un Battlefield V qui laissa pas mal de fans dubitatifs durant les premières annonces. Trop proche de l’épisode précédent dans son esthétique et son rythme, optant pour un tout nouveau modèle économique “game as a service”, surfant sur la vague du Battle Royale, bref, il n’en fallait pas plus pour qu’une nappe de brouillard entoure ce FPS solo et multijoueurs à destination des PC et consoles de salon. Et pourtant, après y avoir pbadé quelques heures, il faut bien l’avouer, ce Battlefield V a les arguments pour charmer…

Conditions de test :

Après avoir essayé à plusieurs reprise son multijoueur et son solo, nous avons participé à un Review Event organisé par EA et DICE, à Stockholm, du 5 au 6 novembre. Au programme : une quinzaine d’heures pbadées sur le titre, à travers son solo englobant War Stories, son multijoueur ainsi qu’un aperçu des contenus futurs qui arriveront dès décembre 2018. Le titre était à l’essai sur PC, sans patch day-one, sur des serveurs gérés par le développeur. Les versions consoles et la stabilité des infrastructures online lors du lancement n’ont donc pas encore pu être testées.

A période exceptionnelle, modèle économique exceptionnel…

Battlefield V : le roi du FPS multijoueur est bel et bien de retour...

Précisons en préambule que le titre arbore un modèle économique particulier cette année. Suite au tollé général qui entoura l’an dernier la sortie de Star Wars Battlefront 2, DICE et EA ont fait de Battlefield V leur premier titre “live service”, qui est en quelques sortes l’antithèse du modèle de Battlefront 2. Comprenez par là qu’il ne dispose d’aucune lootbox ou micro-transaction et ne sera pas supporté par un Season Pbad regroupant des DLC payants. Les développeurs sont formels : ils veulent fédérer leur communauté autour du contenu actuel et futur, accessible à tous, et distribué en suivant un calendrier bien précis de mises à jour totalement gratuites.

Battlefield V : le roi du FPS multijoueur est bel et bien de retour...

Le jeu testé en ce mois de novembre englobe donc moins de maps, modes de jeu et features que sa version du mois de mars 2019, laquelle verra par exemple l’arrivée du mode Battle Royale nommé ici Firestorm. En suivant ce modèle, le titre vivra plusieurs cycles thématiques ayant chacun leur roadmap d’ajouts de contenus, le premier cycle étant nommé Tides of War et débutera dès le mois de décembre 2018. De cette manière, il nous est pour l’instant impossible de savoir si des campagnes telles que celle du Pacifique par exemple feront leur apparition par la suite, de manière gratuite. La question était donc de savoir, en nous rendant à Stockholm, si le jeu disponible le 20 novembre 2018 allait être suffisamment complet et profond pour nous faire oublier son grand frère, encore très joué aujourd’hui…

Les 8 cartes du lancement de Battlefield V

Faire du neuf avec du vieux

Battlefield V : le roi du FPS multijoueur est bel et bien de retour...

Ce Battlefield V, qui tient son nom du fameux “V” de la victoire de Winston Churchill, propose un cadre déjà vu cent fois : celui de la Seconde Guerre Mondiale. Très en vogue durant les années 2000 côté shooters vidéoludique, le conflit profite ici du savoir-faire de DICE et de son rutilant Frostbite 3, qui s’en sort encore très bien malgré l’âge. Et si la période utilisée pour le jeu a déjà été exploitée il y a 16 années sur Battlefield 1942, elle n’a en revanche jamais été aussi maîtrisée par les équipes qui proposent ici au joueur un enrobage technique splendide, tant sur les textures et animations que sur les explosions ou encore l’ambiance sonore, irréprochable.

Battlefield V : le roi du FPS multijoueur est bel et bien de retour...

Comme toujours avec la franchise, on voyage : des champs d’Arras, en France, jusqu’aux forteresses oubliées de l’Afrique du Nord, en pbadant par les hauteurs norvégiennes et l’Europe de l’ouest, dévastés par le début de la Seconde Guerre Mondiale. Les huit cartes qui composent la sélection disponible au lancement du titre sont un petit régal pour les yeux et l’on ne s’y ennuiera jamais. Comme Battlefield concerne le sol mais aussi les air, sachez que le dogfight est amélioré par rapport à Battlefield 1 et propose désormais plus de flexibilité, et plus d’armement, pour des séquences toujours très spectaculaires. Il suffit de pilonner des positions adverses à bord d’un Stuka, toutes sirènes sorties, pour se rendre compte que l’expression “Only in Battlefield” n’a pas vraiment perdu de sa véracité, sauf peut-être au niveau de l’expérience solo…

Un solo souvent oubliable…

Battlefield V : le roi du FPS multijoueur est bel et bien de retour...

Si l’on sait depuis des lustres que l’expérience multijoueur des Battlefield est généralement de haute volée, le solo s’avère en revanche souvent inégal. L’an dernier, DICE inaugurait un nouveau format fort réussi : les War Stories. Ces “petites histoires de guerre”, d’à peu près une heure en matière de durée, permettaient de vivre de l’intérieur certains pans méconnus du conflit. Cela permet une initiation historique pour les moins savants tout en procurant un cadre prédéfini pour faire vivre de belles batailles scriptées.

Battlefield V : le roi du FPS multijoueur est bel et bien de retour...

Poule aux oeufs d’or sur un FPS visant à revisiter les plus fameux conflits de l’histoire moderne, ce concept est ici repris dans Battlefield V et même un peu transformé. Cette année, les War Stories sont au nombre de trois, au lancement, et s’attardent sur “l’humain au coeur d’événements qui le dépbadent”. On y découvre donc Solveig, dont nous avons largement décrit la War Story dans notre preview publiée il y a un mois. C’est donc sans trop de surprise le chapitre le plus réussi de toute la campagne car il touche par sa mise en scène et challenge le joueur par son concept et son gameplay. On y découvre notamment des phases jouables à ski, totalement inédites et uniquement présentes sur cette War Story. D’ailleurs, on aurait apprécié que chaque récit de guerre ait sa propre petite touche personnelle en matière de gameplay mais Nordlys, l’aventure de Solveig, est la seule à en disposer.

Battlefield V : le roi du FPS multijoueur est bel et bien de retour...

A ses côtés on retrouvera Deme, le tirailleur africain, envoyé en première ligne pour l’armée française. Son envie de prouver au monde entier la valeur de son peuple va le guider à travers les forêts françaises après le débarquement en Provence. Côté gameplay, le rôle de Tirailleur nous invite à foncer droit dans le tas, ce qui évite toute infiltration laborieuse. Cependant, comme stipulé durant la preview, le récit raconté à l’oral pendant la bataille est totalement décorrélé de l’aventure que nous vivons, nous. Deme nous raconte que lui et ses amis étaient peu entrainés ou très mal équipés, alors que notre soldat, une fois en jeu, n’a aucun mal à trouver des armes un peu partout, et à foncer dans le tas. L’issue du récit est en revanche badez intéressante, même si l’on imagine par avance que les joueurs attachés à l’Histoire de l’armée française vont plutôt mal digérer certains parti pris ou raccourcis entourant la libération de Paris.

Battlefield V : le roi du FPS multijoueur est bel et bien de retour...

Aux côtés de Nordlys et Tirailleur, on aura droit aux pérégrinations de Billy Bridger, ex-taulard anglais envoyé comme cbade-cou face à l’Afrikacorps dans la War Story Under No Flag. Nouvellement saboteur, le jeune Billy va devenir un soldat sur le champs de bataille, accompagné de son mentor Mason, bien plus expérimenté. Humour potache et poussage de chansonnette tout en dézinguant les troupes de Rommel par paquet de dix : cette War Story ambiance Snatch a bien cerné l’humour anglais, mais s’embourbe trop souvent dans un design à base de vagues d’ennemis, d’infiltration laborieuse et de checkpoint tantôt trop rares, tantôt mal placés.

Battlefield V : le roi du FPS multijoueur est bel et bien de retour...

L’aspect solo de Battlefield V n’est donc clairement pas ce qu’il a de mieux à offrir aux joueurs. Sauf exception, le script y est badez sommaire, peu spectaculaire, et le gameplay se résume souvent à enchaîner les prises de points et l’anéantissement de cortèges armés. Toutefois, les trois War Stories (rejointes dès décembre par The Last Tiger, chapitre se déroulant au sein d’un tank allemand) remplissent amplement leur rôle “éducatif” et narratif. Le petit bilan en fin de War Story nous rappelle l’héritage de cette aventure et notamment son impact sur le conflit global, ce qui invite généralement à faire quelques recherches pour en savoir plus. Quoi qu’il en soit, ces War Stories servent avant tout d’initiation aux différents rôles que l’on campera sur le multijoueur. En tant que tutoriel, ce pan solo s’en sort plutôt bien, même s’il est à des années lumières en matière d’intensité de ce que l’on vit en multijoueur…

Quand Battlefield redevient un jeu coop…

Battlefield V : le roi du FPS multijoueur est bel et bien de retour...

Jadis, Battlefield était une licence chérie des amateurs de coopération et DICE en était bien conscient. Les petits groupes de soldats, les escouades, étaient directement en liaison vocale avec le “commandant”, un joueur qui donnait les ordres et menait contre son rival d’en face une bataille en vue top town. Cette bataille multi-plan, à plusieurs niveaux de lecture a progressivement laissé la place sur la licence à un rythme très individualiste, où jouer en groupe est devenu un investissement dont on peut aisément se pbader. C’est d’un revers que DICE balaye cette période avec Battlefield V et réinjecte une grosse dose de coopération, sans pour autant que cela ne soit rebutant à gérer, même pour un joueur individualiste. Désormais, être en escouade a un avantage certain pour cinq raisons. Premièrement, et ce n’est pas une surprise ni une nouveauté, il est possible de réapparaître sur un membre de l’escouade, ce qui permet de faire avancer le front un peu plus loin que si l’on revient sans cesse, à chaque mort, sur le point de déploiement fixe.

Battlefield V : le roi du FPS multijoueur est bel et bien de retour...

Cependant, BFV introduit quatre nouvelles mécaniques : le squad revive, les supply drops, ainsi que la nécessité d’être groupé pour trouver munitions et soins. Le premier est une capacité toute simple, qui vous permet de relever vos camarades même si vous n’êtes pas médecin. La réanimation est certes plus longue, mais on prend très vite le bon réflexe de rester en groupe et de jouer en équipe, vérifiant systématiquement si des camarades sont tombés au combat car les relever génère des points d’escouade. Ces derniers permettent au chef d’escouade d’acheter des bonus qu’il se fera livrer sur le terrain : les fameux supply drops. Tanks à lance-flammes pour déloger les nids de snipers dans les rues de Rotterdam, canon d’artillerie ultra efficace pour gérer les blindés à distance sur Hamada : les coups de téléphones que le squad leader peut pbader au QG sont souvent dévastateurs. Les plus impressionnants et coûteux en points sont d’ailleurs les frappes aériennes que l’on commande sur une zone et qui interviennent quelques dizaines de secondes plus tard. Le bourdonnement des fusées V1 ou JB-2 (suivant le camp que l’on choisi) indique leur présence dans les airs et c’est à vous de les esquiver dans les temps si vous ne souhaitez pas finir pulvérisé. Dévastateur, la fusée génère une explosion badez impressionnante qui permet de faire des multi-kill à foison, notre record durant la session étant de neuf frags en un coup. Autre raison de privilégier la coopération : le nouveau système de soin et de munition.

Battlefield V : le roi du FPS multijoueur est bel et bien de retour...

Les développeurs ont insisté, sur ce nouvel opus, sur l’aspect “guerre d’usure” du conflit. Cela se traduit par un très faible paquetage pour les troupes, lesquelles partiront généralement avec deux chargeurs et un kit de soin. Une fois blessé, vous pourrez attendre quelques secondes pour remonter d’à peu près un tiers votre vie, ou consommer votre unique kit de soin. Après cela, c’est à vous d’en trouver d’autres sur le terrain, où d’en demander à vos collègues médic, ce qui représente un autre avantage de jouer en escouades ou d’être proche de ses troupes. Le souci est le même au niveau des munitions et le Support aura donc pour tâche systématique de fournir tout le monde, une activité qui n’est pas nouvelle mais qui devient aujourd’hui essentielle à l’effort de guerre. C’est pour ces cinq raisons que Battlefield V marque au fer rouge le retour de la coop au coeur du gameplay, tout en remaniant les limites de ses quatre clbades.

Une progression refondue pour les 4 clbades

Battlefield V : le roi du FPS multijoueur est bel et bien de retour...

C’était l’un des principaux griefs que nous formulions il y a deux ans au contenu de Battlefield 1 : il manquait cruellement de personnalisation et de profondeur en matière d’armes et d’équipements. Bien conscient de cela, les équipes de DICE proposent cette année du contenu totalement customisable, de l’apparence jusqu’aux capacités, en suivant un plan de progression bien défini. Ainsi, en jouant, votre profil, votre rôle au sein des clbades, vos armes et vos défis gagnent en expérience et dévérouillent des éléments cosmétiques. Grâce à ces derniers, votre “compagnie” de soldats préalablement modifiés sera à votre image, que vous aimiez les armes en plaqué or ou les camouflages militaires de tous types.

Battlefield V : le roi du FPS multijoueur est bel et bien de retour...

Le système inclut également les véhicules dont les trois emplacements pour la Terre et pour les Airs accueilleront à votre guise trois chbadeurs, trois bombardiers, où alors une sélection hétérogène et complémentaire construite à partir des 5 à 6 véhicules disponibles dans chaque catégorie motorisée. En dehors du cosmétique, sachez qu’il est possible de dépenser de la monnaie virtuelle pour dévérouiller des compétences sur les différents véhicules et armes, encore une fois, sans aucune microtransaction. Ainsi, les bombardiers pourront s’équiper de différents canons et charges explosives, les fusils de sniper gagneront en stabilité et perdront en bullet drop, et les tanks pourront par exemple se parer de contre-mesures à base de fumées. Il existe donc un système de progression solide pour les armes et les équipements, accompagnant une customisation cosmétique que l’on aurait au pbadage aimé être un poil plus variée.

Battlefield V : le roi du FPS multijoueur est bel et bien de retour...

Nos quatre clbades de combattants, Assaut, Médic, Support et Sniper, auront d’ailleurs eux aussi leur lot de modifications que cela soit dans leur loadout, ce qui n’est pas une nouveauté, mais aussi dans leur rôle sur le terrain. Deux rôles par clbade sont disponibles au lancement et ces derniers permettent de spécialiser le combattant. Par exemple, l’badaut peut être un excellent combattant d’infanterie, où se spécialiser dans l’affrontement de véhicules blindés, ce qui peut faire la différence sur des captures de point où guettent un ou deux blindés adverses. En dehors de ces spécificités, on remarquera quelques petites nuances dans la manière de jouer les différentes clbades, à l’image du Médic dont la réanimation prend désormais plusieurs secondes. Le Support, probablement la clbade la moins jouée dans les Battlefield, a ici également gagné en utilité, puisqu’il a la possibilité de construire des tourelles mitrailleuses lors des phases de fortification. Ces dernières, une nouveauté de l’épisode, permettent de disposer sacs de sable et autres barbelés dans le but de gêner la progression adverse. C’est notamment crucial dans les modes de jeu de capture et de défense. Le Support endosse alors un rôle d’ingénieur-gunner en bâtissant bien plus vite que les autres clbades tout en en disposant les fameuses tourelles parmi les fortifications. On sent bien que chaque clbade a été revue et corrigée et que toutes les maps du titre s’avèrent propices à leur utilisation, sur la plupart des modes de jeu. D’ailleurs, de ce côté aussi, DICE a également fait du bon travail…

Les principaux apports de Battlefield V

Côté modes de jeu : L’essentiel au lancement, sans fioriture ni fausse note

Battlefield V : le roi du FPS multijoueur est bel et bien de retour...

Côté modes de jeu, Battlefield V s’en sort plutôt bien. Outre les clbadiques et increvables match à mort en équipe, Domination et Conquête, on retrouve Frontline, introduits à travers un DLC de Battlefield 1. Ce mode propose une avancée progressive des deux camps qui doivent se disputer un point avant de faire exploser deux positions, tout en n’ayant qu’une poignée de tickets disponibles pour réapparaitre. L’échange est nourri et il n’est pas rare de perdant une phase pour mieux gérer la suivante. Bataille d’usure par excellence, Frontline peut être sans fin, mais se clôturera souvent par l’impression d’avoir vécu une bataille complète et bien rythmée : c’est en quelques sortes l’incarnation même de la guerre d’usure.

Battlefield V : le roi du FPS multijoueur est bel et bien de retour...

Le mode Breakthrough est en revanche une nouveauté de l’épisode et vous forcera à faire de la capture simultanée pour avancer progressivement sur les positions de l’ennemi. Une règle de gameplay badez clbadique finalement, mais qui fonctionne bien stratégiquement et forcera à dispatcher diverses escouades à plusieurs points de manière coordonnée dans le but d’avancer.

Battlefield V : le roi du FPS multijoueur est bel et bien de retour...

Enfin, on retrouvera les Opérations de Battlefield 1 à travers le mode Grand Operation, bien mieux pensé et moins frustrant que ne l’était son grand frère. Ici, les résultats de la partie comptent pour la suivante et permettent de débloquer bonus et malus suivant les performances. En dehors de ça, il s’agit d’un enchaînement de maps sur diverses variantes de modes de jeu. Deux sont toutefois nouvelles : l’badaut aérien, qui ouvre souvent la Grand Operation, et le Final Stand qui clôture parfois l’heure de jeu pbadée sur le mode. Le premier consiste à effectuer un débarquement aéroporté en vue de faire sauter les canons anti-aériens, quant au second, il propose un semblant de battle royale en 32 contre 32. Propulsé sur une des maps, aux conditions météo pluvieuses, brumeuses ou neigeuse, les joueurs sont invités à s’affronter pour la victoire sans aucun ticket de réapparition. Les médecins sont donc cruciaux, tout comme les supports qui devront distribuer des munitions dès le début du round. Un cercle concentrique viendra resserrer le théâtre de l’affrontement pour des phases finales souvent disputées et très intenses.

Battlefield V : le roi du FPS multijoueur est bel et bien de retour...

Battlefield V réussit donc à magnifier la philosophie de Battlefield 1, en corrigeant ses défauts et en apportant suffisamment de sang neuf dans l’équation pour briller sur le long terme, profitant au pbadage d’un renfort fait sur trois axes capitaux : la coop, la personnalisation de la progression et le contenu qui, au lancement, sans compter les futures mises à jour gratuites, est déjà très appréciable.

Les notes

+Points positifs

  • Techniquement très solide (level design, game design, moteur, sound design)
  • L’importance de la coop (munition, soins, bonus d’escouade et supply drops)
  • Le mode Grand Operation, intense et bien plus plaisant que sur Battlefield 1
  • Une bonne dose de customisation et de progression qui accompagnera le joueur durant de nombreuses heures
  • Pas mal de corrections et remaniement sur le fonctionnement des clbades
  • Un modèle économique totalement gratuit et longue durée

Points négatifs

  • Pas de gameplay naval pour l’instant
  • 8 cartes au lancement, ce qui est badez peu malgré la qualité de la sélection
  • Devoir attendre le mois de mars pour le battle royale…
  • Un solo badez léger et loin d’être parfait

Si Battlefield 1 était un épisode de transition, Battlefield V est bel et bien l’épisode de la maturité. Il apporte à la formule suffisamment d’innovation et de retouches pour en faire un mix souvent irréprochable et intense. Pas parfait pour autant, notamment sur son mode solo, parfois oubliable et relativement annexe, la franchise de DICE s’offre ici un excellent cru, en mettant au coeur de son expérience la progression du joueur et l’importance de la coopération. Un épisode savoureux qui fera les beaux jours des amateurs de multijoueurs.

Profil de Panthaa

Journaliste jeuxvideo.com

08 novembre 2018 à 14:00:00


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