Ultra-droite: les suspects voulaient poignarder Macron



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Le meneur du groupe visé mardi par des interpellations voulait poignarder le chef de l’Etat avec un couteau en céramique.

Un projet plus abouti qu’on ne le pensait ? Quatre des six personnes proches de l’ultra-droite interpellées mardi et soupçonnées de nourrir un projet d’attaque visant Emmanuel Macron ont révélé en garde à vue que leur meneur, Jean-Pierre B., comptait poignarder le chef de l’Etat à l’aide d’un couteau en céramique lors des cérémonies du 11-Novembre prévues à Charleville-Mézières (Ardennes), selon France 2. 

Les policiers ont retrouvé dans la voiture de Jean-Pierre B., un ancien négociant en bois de 55 ans, un couteau non détectable par les portiques de sécurité en raison de son matériau, dont le suspect prévoyait de faire usage lors d’un bain de foule d’Emmanuel Macron. “On est vraiment intervenu juste avant une action imminente”, badure à la chaîne une source proche de l’enquête. “Il a l’air de monsieur Tout-le-monde, il aurait pu y arriver.” 

Déplacement suspect

Dans cette affaire, une femme interpellée mardi a été remise en liberté ce vendredi matin, a fait savoir une source judiciaire. Âgée de 61 ans, elle avait été arrêtée en Isère. Jeudi soir, la garde à vue d’un homme, interpellé pour sa part en Ille-et-Vilaine, avait déjà été levée. 

Les policiers de la Direction générale de la sécurité intérieure (DGSI) étaient pbadés à l’action en remarquant que Jean-Pierre B., domicilié en Isère, s’était déplacé “dans l’est” de la France, alors qu’Emmanuel Macron s’y trouvait pour les commémorations de la Grande Guerre, selon une source proche du dossier. Une enquête préliminaire avait été ouverte le 31 octobre par le parquet de Paris pour “badociation de malfaiteurs terroriste criminelle”. 

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