8 morts, dont 5 civils, dans des attentats à la bombe dans la province d'Indlis



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Au moins huit personnes, dont les cinq civils, ont été tuées vendredi par des tirs d'artillerie syriens contre leur communauté dans la province d'Idlib, alors qu'il se trouve dans un secteur déclaré "zone démilitarisée", a déclaré une ONG.

La création d'une "zone démilitarisée" de 15 à 20 km a été convenue le 17 septembre entre la Russie, alliée du régime, et la Turquie, protectrice des organisations rebelles, afin de séparer les zones contrôlées par le gouvernement anti-immigrés d'Idlib. La Syrie.

L'accord a théoriquement commencé à être appliqué à la mi-octobre, mais dans la pratique, les termes de l'accord sont souvent violés et éclatent entre les rebelles ou les djihadistes et les forces du président Bashar al-Assad.

Les affrontements de vendredi ont été parmi les dernières semaines dans la région.

Les tirs d'artillerie des forces du régime ont touché le secteur tôt dans la matinée, dans la partie sud-est d'Idlib, où se trouve la communauté de Darjansa, a déclaré le Syrien Human Rights Watch. Cette région fait "partie de la zone démilitarisée" prévue dans l'accord de septembre, a déclaré le directeur de cette ONG, Rami Abdel Rahman, à l'agence française.

Les martyrs de la communauté ont tué au moins huit personnes, dont cinq civils, dont un enfant, a-t-il ajouté, faisant également état de 20 blessés.

Selon le Syrian Human Rights Watch, au moins sept civils ont été tués le 26 octobre lors d'attaques d'artillerie similaires à Indlib. Jeudi, en revanche, quatre militants progouvernementaux ont été tués lors d'un raid de djihadistes contre leur position.

L'accord russo-turc a permis le lancement d'une opération à grande échelle par le régime pour la reprise d'Idlib.

Comme stipulé dans l'accord, les organisations rebelles ont annoncé qu'elles retiraient leur artillerie lourde de la zone neutre. Mais les djihadistes, en particulier le Hajihat Tahrir al-Sham, dominé par l'ancien bras d'Al-Qaïda en Syrie, ont refusé de quitter le secteur.

Le chef de la diplomatie syrienne Wealid Muhammad a fait part cette semaine de son mécontentement face à la violation de l'accord, soulignant les omissions de la Turquie.

La Symphonie du ministre des Affaires étrangères a notamment souligné l'accord "que les terroristes sont toujours présents avec leurs armes lourdes sur le terrain", a rapporté l'agence de presse SANA.

Source: RES-EAP

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