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Pour "occupé Méditerranéen"Le ministre turc de la Défense, Hulousi Akar, a déclaré lors d'une visite en Libye la semaine dernière, comme le révèle le journal turc Yeni Safak.
Selon sigmalive.com, le responsable turc, lors de ses contacts dans ce pays d'Afrique du Nord, a ouvert à ses interlocuteurs deux cartes montrant comment la Méditerranée orientale pbadait sous son "occupation". Grèce, en violation du droit international.
"Athènes, après le renversement du régime de Kadhafi en raison de l'instabilité politique dans le pays, a trouvé l'occasion d'avaler 39 000 kilomètres carrés d'espaces marins appartenant à la Libye", a déclaré le président, Yeni Safak.
Le rapport indique que la Grèce et Chypre, en prenant pour base de calcul non pas le continent mais les îles, limitent les zones de juridiction maritime de la Turquie dans l'est de la Méditerranée. Elle a fait Chypre, "Piégeage" de la Turquie sur une superficie de 41 000 km 2 autour de la baie d’Antalya et de la Grèce sous la Crète.
En effet, Houlousey Akar voulait promouvoir la possibilité de signer un accord entre la Turquie et Libye de délimiter leurs juridictions maritimes, soulignant que cela saperait les plans d'occupation de la Grèce, donnant ainsi la marque de la politique d'Ankara pour la Méditerranée orientale.
"Si le Turquie En signant un accord avec la Libye pour délimiter la zone économique exclusive, un "bouclier turc" sera créé contre la ligne "d'occupation" qui s'étend du "sud de Chypre" à la Grèce. Parce que la Grèce, l'Egypte, le sud de Chypre et Israël envisagent de dépenser les réserves d'énergie de la Méditerranée orientale en Europe via le plateau continental turc et libyen ", a déclaré le journal.
Cet article rappelle également deux appels antérieurs lancés par la Libye devant la Cour internationale de Justice Tunisie en 1982 et Malte en 1985. Les décisions pertinentes de La Haye ont alors essentiellement modifié les positions libyennes, qui ont nié le droit de îles dans les zones maritimes.
Houlousi Akar n'a pas non plus offert son soutien militaire à la Turquie pour le rétablissement d'une force turque en Libye. Il est toutefois remarquable qu'après le retour d'Akbar à Ankara, le président du Conseil présidentiel du gouvernement grec soit arrivé en Turquie. Unité de la Libye, Fayez Al Saratz, qui a également rencontré le président turc Erdogan à Constantinople.
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