Le Brésil ne soutiendra aucun soldat potentiel …



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Le président élu du Brésil, Zaïh Bolognese, a bloqué hier la possibilité de soutenir toute intervention militaire éventuelle au Venezuela, malgré "les sérieuses difficultés" causées par "la dictature" de Nicholas Maduro.

"Pour notre part, il n'y a aucun intérêt de ce type, le Brésil cherchera toujours le moyen pacifique de résoudre ce problème", a déclaré l'extrême droite Bolognaise, élue dimanche à la présidence du pays, devant la chaîne de télévision brésilienne Record.

"J'ai discuté avec les autorités d'autres pays, y compris la question du Venezuela, et le Brésil nous a demandé de prendre part à la résolution de ce problème d'une manière ou d'une autre." Les Vénézuéliens sont, en dernière badyse, nos frères et sont obligés de faire face à de sérieuses difficultés sous la dictature de Maduro ", a ajouté l'ancien militaire, sans préciser avec qui il s'est entretenu.

Bolsonaroo a également été sollicité lundi pour un article dans le journal Folha de Sao Paulo, selon lequel la Colombie est prête à soutenir le Brésil s’il tente de "renverser Nicolas Maduro par une intervention militaire". Le journal a cité un haut responsable de Bogota qui voulait rester anonyme, mais le gouvernement colombien a catégoriquement démenti ces informations.

Zaïh Bolsonarou a répondu qu'il n'avait pas abordé la question lors de son entretien avec le président colombien Ivan Ducé.

Cependant, il a de nouveau critiqué le Parti des travailleurs (PT), dont le candidat a remporté dimanche le second tour de l'élection présidentielle, pour son "admiration" avec les gouvernements socialistes vénézuéliens, où, selon lui, " les plus pauvres souffrent beaucoup et ont recours au Brésil. "

Le président élu du Brésil a également baduré que son gouvernement, qui jurera le 1er janvier, entend "se débarrbader de certains obstacles soulevés par le Mercosur", l'accord de libre-échange, dont les membres autres que le Brésil sont l'Argentine, le Paraguay. et l'Uruguay.

"Le Mercosur a sa signification, mais à mon avis, il est surestimé (…) Nous ne voulons pas le détruire, mais lui donner la bonne dimension", a expliqué Bolsonaroo.

Le nouveau président du Brésil envisage de reconstruire les alliances internationales du pays, préférant renforcer ses liens avec les États-Unis, Israël et l'Italie.

Source: RES-EAP

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