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Le Parti des femmes Gabriela s’est interrogé sur la récente déclaration du chef des forces armées des Philippines, le général Carlito Galvez, selon laquelle il est «toujours pratique» de prolonger la loi martiale à Mindanao jusqu’en 2019 en raison des prochaines élections à mi-parcours.
Dans un communiqué, le groupe de parti a déclaré que le fait de fonder une troisième extension de la loi martiale sur le caractère pratique ne constituerait "qu'une profanation de la Constitution, ce que cette administration aime tant à faire".
Le groupe a souligné que la Constitution ne prévoyait pas que le «caractère pratique» puisse être invoqué pour déclarer la loi martiale. La Section 18, Article VII de la Constitution de 1987, prévoyait uniquement que la loi martiale pouvait constituer une option en cas d'invasion ou de rébellion.
«Ce que l’AFP veut vraiment, c’est sa poursuite du pouvoir et son abus d’autorité dissimulés par la loi martiale de Duterte», a déclaré Gabriela.
«Achat de votes persistant»
Il a affirmé que l'armée «n'avait pas réussi à limiter les achats de voix et la violence liée aux élections» lors des élections du barangay de mai 2018.
«Pour que les élections aient du succès à Mindanao, la région et ses habitants devraient être libres. Soulevez la loi martiale, libérez Mindanao… »dit Gabriela.
Lors d'une conférence de presse tenue mercredi, M. Galvez a annoncé son intention de se rendre à Mindanao la semaine prochaine pour voir s'il était possible de recommander l'extension de la loi martiale dans la région.
Galvez s'est dit heureux que le sénateur Sherwin Gatchalian, la police nationale philippine et même le secteur religieux aient recommandé une prolongation.
«Nous avons eu les élections les plus pacifiques au barangay à cause de la loi martiale et même à Marawi [City], [it was the] première fois qu'il n'y a pas d'échec aux élections », a-t-il déclaré.
La sénatrice Risa Hontiveros a déclaré que la loi martiale n'avait pas mis fin à la violence anarchique à Mindanao.
«Les blessures et les pertes en vies humaines persistantes, tant des civils que des membres de la police, prouvent qu'une approche centrée sur la loi martiale visant à enrayer la violence et à promouvoir la paix n'a pas permis d'atteindre son objectif», a-t-elle déclaré. —AVIS DES RAPPORTS DE JEANNETTE I. ANDRADE, JULIE M. AURELIO ET LEILA B. SALAVERRIA
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