«Ce n'est pas une contradiction pour moi» – Actualités Economie: Entreprises



[ad_1]

Monsieur Narasimhan, vos attentes en matière de ventes ont augmenté. Qu'est-ce qui te rend confiant?

Nous constatons une forte croissance de nos nouveaux médicaments importants, tels que le médicament pour le psoriasis Cosentyx et le médicament pour le cœur Entresto. En outre, nous assistons généralement à une évolution positive de nos activités en oncologie. Cela nous a encouragés à augmenter nos prévisions pour 2018 et nous donne également confiance dans les perspectives à moyen terme pour ces produits clés.

N’est-ce pas une contradiction d’augmenter vos prévisions tout en prévoyant de réduire des milliers d’emplois?

Nous envisageons l'exploitation minière dans une perspective à long terme. Nous voulons nous assurer que nous restons une entreprise compétitive avec une forte présence suisse, comprenant trois milliards de dollars en dépenses de R & D annuelles et tous les autres investissements. C'est une étape nécessaire pour réussir. Il convient également de garder à l’esprit que nous procéderons à cette réduction sur une période de quatre ans, au cours de laquelle nous ferons tout notre possible pour que cette transition soit aussi respectueuse que possible pour les employés potentiellement concernés.

La contradiction demeure.

Pour moi, ce n’est pas une contradiction, car nous travaillons à maintenir la compétitivité de Novartis à un niveau élevé. Nous voulons réussir à long terme.

Quel est l'état des suppressions d'emplois annoncées en Suisse?

En ce moment, des consultations avec nos représentants du personnel ont lieu. Depuis notre annonce, rien de nouveau n’est donc apparu.

Vous attendiez-vous à la vive critique du démantèlement?

Nous savions que ce serait une décision difficile à prendre, mais nous pensons que cette réduction aidera Novartis en Suisse à faire face à l’avenir, tant pour la production que pour les services internes.

Le gouvernement de Bâle a également montré sa déception. Christoph Brutschin, directeur économique, s'exprime dans le but de dégrader une qualité différente, car les 700 emplois en danger de la société de services ici à Bâle ne sont pas supprimés mais sont transférés ailleurs.

En principe, nous sommes reconnaissants du partenariat fiable avec le gouvernement de Bâle et de son soutien depuis des décennies. Pour les services internes, j’espère que le degré d’automatisation augmentera encore plus dans le futur. Certaines de ces entités affectées seront donc remplacées de cette manière à l'avenir et d'autres seront transférées dans des centres de services mondiaux. Parallèlement, nous allons cependant renforcer nos capacités en thérapie cellulaire et génique à Stein, par exemple, ou à Bâle en tant que siège principal de nos activités dans le domaine des données et du numérique. En Suisse, par exemple, nous investissons dans les compétences pertinentes de demain.

Combien d'emplois seront supprimés dans le monde chez Novartis d'ici 2022 dans le cadre de l'ensemble du programme?

Il n'y a pas de programme global, mais chaque site est considéré et optimisé individuellement. Pour cette raison, je ne peux pas appeler un nombre total pour les suppressions de postes.

Jusqu'où êtes-vous dans le spin-off de vos soins de la vue Alcon?

Nous sommes à l'heure. La spin-off aura lieu au premier semestre de l'année prochaine.

(Editeurs Tamedia)

Créé: 18.10.2018, 22:21

[ad_2]
Source link