4 corps retrouvés après l'effondrement d'immeubles d'habitation à Marseille, en France: NPR


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Un fossé existe maintenant lorsque deux bâtiments se sont effondrés lundi matin à Marseille, en France. Un troisième bâtiment a été endommagé et également démoli.

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Un fossé existe maintenant lorsque deux bâtiments se sont effondrés lundi matin à Marseille, en France. Un troisième bâtiment a été endommagé et également démoli.

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Mis à jour à 15h22 HE

Les pompiers recherchent des survivants parmi les décombres après l'effondrement de deux bâtiments à Marseille, en France, lundi matin.

Jusqu'à présent, les corps de deux hommes et de deux femmes ont été retrouvés. Les autorités estiment qu'il pourrait y avoir de cinq à huit victimes.

"Les enquêteurs ont trouvé des poches de survie, alors il y a peut-être espoir qu'il y aura des gens encore en vie", a déclaré le ministre français de l'Intérieur, Christophe Castaner, selon un communiqué. Le gardien.

Un des bâtiments, le 63 rue d'Aubagne, a été condamné, mais les autorités locales n'ont pas pu exclure que des squatters y aient peut-être vécu.

Les gens vivaient dans l'autre bâtiment qui s'est effondré, 65 rue d'Aubagne.

Sophie Dorbeaux, une étudiante en philosophie âgée de 25 ans, était l'une d'entre elles. Elle a déclaré à l'AFP qu'elle était restée chez ses parents la nuit précédant l'effondrement car de nombreuses portes de l'immeuble ne fermeraient pas. "Cela aurait pu être moi", dit-elle.

Le service de presse rapporte que neuf des dix logements de ce bâtiment étaient occupés, un magasin occupant le sous-sol. Un troisième bâtiment voisin, le numéro 67, a été endommagé et a été démoli de peur de s’effondrer.

Les pompiers et la police travaillent sur le site près du Vieux-Port de Marseille où deux bâtiments se sont effondrés lundi.

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Les pompiers et la police travaillent sur le site près du Vieux-Port de Marseille où deux bâtiments se sont effondrés lundi.

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Castaner a déclaré que les inspecteurs s'étaient rendus au numéro 65 le 18 octobre et qu'ils étaient inquiets mais ne voyaient aucune raison d'évacuer.

"Le risque est que ce soit un château de cartes. C'était un bâtiment délabré mais il y avait des propriétaires et des locataires. Ce n'était pas un bidonville", a déclaré Renaud Muselier, président de la région Provence-Alpes-Côte d'Azur la Gardien.

Les images prises en juillet pour Google Street View montrent le numéro 63 avec une façade délabrée et des fenêtres fermées. Le numéro 65 semble être dans un meilleur état.

Les images prises par Google en juillet montrent les façades délabrées des 63 et 65 rue d'Aubagne, qui se sont effondrées lundi.

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Les images prises par Google en juillet montrent les façades délabrées des 63 et 65 rue d'Aubagne, qui se sont effondrées lundi.

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L'effondrement s'est produit près du Vieux-Port de la ville, une zone animée pleine de bâtiments anciens. Selon un rapport publié en 2015 par le gouvernement, 100 000 résidents de Marseille "vivaient dans des logements dangereux pour leur santé ou leur sécurité", selon l'AFP.

Le ministre français de l'Intérieur a appelé à la patience avant de blâmer.

"Ce n'est pas le moment de la controverse" Castaner a écrit sur Twitter. "L'urgence est le nettoyage et le sauvetage: toute notre énergie lui est dédiée. Le moment de l'enquête viendra."

Les responsables de la ville ont évacué plus de 100 bâtiments à proximité à la suite de l'effondrement, ce qui, selon les autorités, pourrait avoir été causé par de fortes pluies, a rapporté l'AFP.

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