Theresa May's former assistants ask Conservatives to stop bickering over Brexit or risk losing power to Jeremy Corbyn


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Former Theresa May MP urged the Conservatives to stop bickering over Brexit and fire on Jeremy Corbyn's Labor Party on pain of losing power in the next election.

Damian Green said L & # 39; Independent His party's conference in Birmingham should be the first step in refocusing the party's goals on an internal policy that "helps people in their daily lives".

The former cabinet member, who was one of the prime minister's closest allies, spoke out as Ms. May faced criticism from her party, with many MPs appearing frightened by a former assistant May described Mr. Corbyn as "populist and clever". Performance at the Labor Conference last week.

Three ministers said L & # 39; Independent they supported Green's call for refocusing, but did not register in the minutes for fear of harming a debilitated prime minister with internal quarrels and constant gossip.

A number of MPs said that they did not think it would be possible to talk about anything but Brexit this week, nor refocus the party until Ms. May stepped aside for a new leader.

Mr. Green's speech follows three days of a number of prominent Conservatives begging their party to take Mr. Corbyn and his program seriously as an electoral threat.

He said L & # 39; Independent: "The Labor Conference reminded us as a party that at the end of elections, elections are won or lost on domestic issues. It is necessary to go beyond Brexit and to focus very seriously by the end of the parliament on the national agenda.

"It seems strange to say it now, but the next elections will not be decided at Brexit. People will look at other things, and certainly a conservative offer must indicate how a competitive business economy can give people more choice, can spread prosperity instead of a centralized, state-controlled economy .


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"This is an eternal argument, and last week Labor presented a story to the left of where they have been for a long time. We must have this argument with the Labor Party – and not continue to have arguments about Brexit with ourselves. "

In Liverpool, Mr Corbyn put forward the capitalism of "greed is good" by calling his party's left-wing program a "new common sense" to reverse decades of economic orthodoxy.

We must have this argument with the Labor Party – and not continue to have arguments about Brexit with ourselves.

Damian Green, former minister

Policies include nationalization, collective wage bargaining, a tenants' union for people struggling with rising costs, forced share ownership of workers and an expansion of free child care.

When asked if it would be possible for the Conservatives to do the same in Birmingham, Mr. Green said, "I'm sure this will be the first step of this week, it must be possible. But then, it must be this week and every week until 2022.

"Whatever the big ads, I hope they will focus on how we are going to help people in their daily lives – that's what people want to hear – it's the stupid national agenda."

A minister the Independent They stressed the need for a new approach and said the party should also highlight its achievements so far, adding, "We have pulled the economy out of the recession and created a record number of dollars. jobs, we have created opportunities for people to access the housing market. " ladder.

«L’approche de Corbyn est de regarder en arrière et d’essayer d’évoquer une période d’or qui n’a jamais existé. En vérité, toutes les politiques qu'il préconise ont été essayées quelque part dans le monde, et même ici, et elles ont toutes échoué.

En signe de colère grandissante contre les durs spécialistes du Brexite, le ministre a ajouté: «C'est un message de populistes de gauche et de droite qui croient en des économies fermées et se tourneraient finalement vers l'intérieur. Et ce n’est pas là un avenir prometteur pour le Royaume-Uni. "

George Freeman, ancien directeur du conseil de politique de Mme May, fait partie de ceux qui tentent de faire prendre conscience aux conservateurs du danger auquel le parti est confronté.

Le député de Mid Norfolk, qui organise chaque année le Big Tent Ideas Festival, a déclaré: «Nous tous, au centre, avons besoin de nous lever et de sentir le café.

«Nous vivons un moment de 1975, 1945 ou 1905, lorsqu'un ancien ordre passe et qu'une nouvelle commande émerge. Le krach, l'inflation QE et le boom des actifs, l'austérité du secteur public et le Brexit signifient que les anciennes règles politiques ne s'appliquent plus.

«Si nous ne reconnaissons pas et ne respectons pas les véritables griefs que Corbyn exploite et propose des solutions audacieuses des conservateurs, le vent continuera de se retourner contre nous.»


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De nombreux conservateurs semblent impressionnés par la manière dont le parti travailliste a présenté son programme politique, prenant pour acquis ce qu’ils pensent être des idées socialistes dépassées et en donnant l’apparence pertinente dans le monde moderne.

M. Freeman a déclaré: «Cette semaine, le parti travailliste a dangereusement failli ressembler à un gouvernement en attente crédible. Alors que leurs politiques de renationalisation, leurs raids sur les registres des actionnaires des sociétés et leurs énormes dettes et impôts supplémentaires seraient désastreux, ils ont reconnu avec succès le changement d’humeur du pays.

"Nous avons besoin de toute urgence de proposer une alternative conservatrice."

L & # 39; Independent s'est entretenu avec deux autres ministres du cabinet qui ont appuyé l'avertissement de M. Freeman sur la nécessité d'une refonte de l'agenda politique du parti et ont convenu que la menace de Corbyn était désormais tangible.

Will Tanner a été l’un des principaux collaborateurs de Mme May jusqu’à ce qu’il quitte le poste 10 pour créer et diriger le groupe de réflexion sur le marché libre Onward, qui bénéficie de l’audience des hauts responsables conservateurs.

Il a déclaré avoir été surpris par la cohérence du message général du dirigeant travailliste à Liverpool, ajoutant: «Il semblait que Jeremy Corbyn avait réussi non seulement à élaborer un programme relativement cohérent, mais également à trouver un langage et un récit pour le dissimuler. , qui adoucit beaucoup des bords qui inquiètent le plus les gens.

"Cela rend potentiellement beaucoup plus populaire que ce qu'il pourrait être autrement en termes de parler de choses d'une manière que nous savons résonner avec les électeurs."

Il cite comme exemple de son analyse le projet du chancelier John McDonnell d’appliquer des «fonds d’actionnariat inclusif» aux travailleurs, ce qui, selon lui, est un reconditionnement de l’ancienne idée socialiste de «réquisition des profits».

Mais il a ajouté que le Parti conservateur était confronté à des défis majeurs pour tenter de contrer la poussée de Corbyn.


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"La question actuelle est celle de l'unité", a-t-il déclaré.

«Il existe de nombreux courants de pensée au sein du conservatisme en ce moment et il n’ya pas de cohérence au sein du Parti conservateur dans le message du Mouvement.

"Le danger est que les points de vue divergents sur ce que le conservatisme représente représentent une confusion du message, diluent la marque et deviennent donc beaucoup moins attrayants pour les gens."

À tout le moins, a-t-il dit, les conservateurs devaient se préparer suffisamment pour «exposer efficacement [Labour’s agenda] et révéler aux électeurs la folie de la politique de Corbyn ».

Mais les députés avaient peu d'espoir que beaucoup de travail fût accompli lors de la conférence qui débute dimanche.

L’ancien ministre et éminent penseur conservateur des conservateurs, Nick Boles, a déclaré: «Nous avons clairement un travail à faire, mais cela ne se fera pas la semaine prochaine. Nous devons d’abord faire sortir le Brexit.

Un autre ministre en exercice a déclaré qu'il était «inévitable» que toute la conférence soit «entièrement consommée par le Brexit».

Un autre député d'arrière-ban de premier plan a déclaré: «Il y a peut-être des conversations intéressantes dans les salles ici et là, mais le contexte général et le message inévitable concerneront le Brexit. Boris Johnson y veillera.

Les discussions sur un défi imminent au Premier ministre ont reculé ces dernières semaines, avec un sommet européen critique qui a suivi les jours de la conférence conservatrice.

Mais les jours de Mme May sont toujours considérés comme numérotés, avec un député du centre modéré du parti parlementaire faisant écho aux commentaires de plusieurs d'entre eux: «Oui, bien sûr, nous avons besoin d'une plate-forme politique totalement nouvelle, mais l'idée qui en ressortira cette semaine est la suivante: un peu trop d'espoir.

«Franchement, nous avons également besoin d'un changement de chef. Pour avoir une chance d'injecter un peu de vie dans notre plate-forme politique, nous avons besoin d'un nouveau leader.


The Independent has launched its #FinalSay campaign to demand that voters be heard on the final Brexit agreement.

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