À court d'argent, le Pakistan cherche de l'aide auprès de la Chine et du Moyen-Orient


[ad_1]

"L'accord a probablement entraîné une attente non déclarée selon laquelle le Pakistan devra réaffirmer son allégeance aux Saoudiens face à la rivalité entre l'Arabie saoudite et l'Iran, en dépit de la forte expression de neutralité du nouveau gouvernement pakistanais", a ajouté Kugelman.

Le Premier ministre pakistanais a déjà annoncé que son administration ferait la médiation entre Riyad et Téhéran au Yémen, "bien que la façon dont il envisage de le faire ne soit pas claire", a déclaré Khan, de l'Institut Cato.

Sans plus de financement extérieur, un plan de sauvetage du FMI pour le Pakistan semble désormais inévitable. De nombreux économistes estiment que les prêts du FMI créent un piège de la dette pour les économies émergentes, mais il en va de même pour l'investissement chinois.

"Islamabad souhaitait obtenir un certain soutien financier de la part d'un partenaire bilatéral afin de répondre à la demande du FMI", a déclaré Kugelman. "De la manière dont Islamabad voit les choses, moins il a besoin de demander au FMI, plus il peut avoir de poids à la table des négociations avec le Fonds."

Les Emirats arabes unis pourraient également constituer une bouée de sauvetage pour l’administration Khan, à la suite d’informations selon lesquelles les deux pays auraient discuté d’un mécanisme de paiement différé du pétrole, ont rapporté les médias pakistanais à la fin du mois d’octobre.

"Indépendamment du fait que les Chinois ou les Emiratis apportent leur aide, le Pakistan entamera les négociations avec le FMI pour obtenir un autre plan de sauvetage", a déclaré Younus. "L'ampleur de ce plan de sauvetage dépendra de l'aide que l'on peut obtenir des Chinois et des Emiratis."

Il y a encore une chance pour que Pékin finisse par arriver.

[ad_2]Source link