Dyson choisit Singapour pour sa nouvelle usine de voitures électriques



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Sir James Dyson

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Sir James Dyson est le fondateur de la société

Dyson, la société britannique réputée pour ses aspirateurs, a choisi de construire sa nouvelle voiture électrique à Singapour.

La société inaugurera sa nouvelle usine à Singapour plus tard cette année avec la sortie de la première voiture de la chaîne de production en 2021.

Dyson a déclaré que la décision reposait sur la disponibilité de talents en ingénierie, les chaînes d'approvisionnement régionales et la proximité de certains marchés cibles.

Le coût n'était pas une considération.

Singapour est l’un des territoires les plus coûteux au monde pour faire des affaires et l’espace pour la fabrication est rare dans la ville.

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La société avait précédemment annoncé son intention d'engager 2 milliards de livres sterling dans le projet, dont 200 millions au Royaume-Uni pour la recherche et le développement ainsi que pour les pistes d'essai, dont une grande partie a déjà été dépensée.

Dyson a insisté sur le fait que la décision d'implanter la production en Asie plutôt qu'au Royaume-Uni n'avait rien à voir avec le Brexit.

Nouvel institut

Même s’il est peut-être décevant que la construction automobile ne se produise pas à Malmesbury, dans le Wiltshire, Dyson ne fabrique actuellement aucun de ses produits au Royaume-Uni. Cette décision n’est donc pas vraiment différente de la réalité.

Dyson s'est vu attribuer le mérite d'avoir triplé ses effectifs britanniques à 4 800 au cours des cinq dernières années et d'avoir fondé un nouvel institut d'ingénierie sur le site d'une ancienne base aérienne qu'elle a rénovée.

La société emploie actuellement 1 100 personnes à Singapour, 1 300 en Malaisie, 1 000 en Chine et 800 aux Philippines.

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Dyson

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Dyson consacre 2 milliards £ au projet

Dyson n'a pas encore révélé le type de batteries que ses nouvelles voitures utiliseront ni où elles seront fabriquées.

Elle a récemment radié 46 millions de livres de son investissement dans la société américaine de développement de batteries à semi-conducteurs Sakti3, qu'elle a achetée en 2015 pour 58 millions de livres sterling.

Les experts du secteur affirment que les batteries à semi-conducteurs – qui peuvent potentiellement être chargées plus rapidement et plus longtemps plus longtemps – sont encore en phase expérimentale. Dyson continue de développer en parallèle des batteries lithium-ion à l'état solide et traditionnelles.

Problèmes liés au Brexit

Le fondateur de la société, Sir James Dyson, a été un ardent défenseur du Brexit et a récemment insisté sur le fait que le Royaume-Uni quitterait l'UE sans aucun accord ne ferait "aucune différence".

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Selon ses critiques, cette approche s'explique par le fait que son entreprise est moins vulnérable aux mêmes problèmes que les autres constructeurs automobiles, qui disposent de chaînes d'approvisionnement comprenant des composants qui traversent souvent l'UE et le Royaume-Uni.

Plusieurs grands fabricants, notamment BMW, Airbus et Jaguar Land Rover – qui fabriquent au Royaume-Uni – ont récemment lancé des avertissements alarmants quant à l'impact d'un Brexit sans accord sur les investissements britanniques.

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