WHO warns of "perfect storm" against Ebola virus in eastern Congo



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GENEVE (AP) – L’insécurité, la défiance publique face aux vaccinations et les manœuvres politiques pourraient créer une "tempête parfaite", a annoncé mardi le responsable des urgences de l’Organisation mondiale de la santé.

Le Dr Peter Salama a déclaré que la réponse à la fièvre hémorragique mortelle se situe à un "moment critique" dans la province orientale du Nord-Kivu, où l'épidémie a été déclarée il y a près de deux mois. Les autorités sanitaires ont signalé 119 cas confirmés, dont 69 décès.




Les opérations de l'OMS à Beni, où le travail de contrôle de l'épidémie est centré, sont "en fait suspendues" après l'attaque des rebelles des forces démocratiques alliées qui ont tué au moins 18 personnes, a indiqué M. Salama.

C'était la septième attaque que les officiels ont enregistrée pendant l'épidémie. Les rebelles des ADF ont réussi à envahir les bases militaires congolaises et à tendre une embuscade aux forces de maintien de la paix des Etats-Unis, at-il ajouté.


Salama a déclaré qu'il était difficile de savoir quand les opérations pourraient reprendre, mais qu'une période de deuil officielle devrait durer jusqu'à vendredi. L’OMS et les autres membres du personnel des Nations Unies n’ont pas l’intention de se retirer.



Les tendances générales dans la réponse à Ebola ont été positives, a déclaré Salama. Mais la menace mortelle posée par les groupes rebelles, les craintes du public concernant les options de traitement dans une région confrontée à sa première épidémie d'Ebola et les craintes des responsables politiques avant les élections de décembre ont posé des problèmes.


De tels facteurs "pourraient se réunir au cours des prochaines semaines ou des prochains mois pour créer une tempête parfaite", a-t-il déclaré.

Il s'est également inquiété de la propagation internationale du virus Ebola, en particulier en Ouganda, qui faisait face à une menace "imminente" après un décès confirmé près de la frontière la semaine dernière. Local officials said the woman, who had participated in burials of Ebola victims, had refused a vaccination for the disease and then disappeared.

Congo's health ministry says more than 5.3 million people have been checked for Ebola at various points along the heavily traveled border. Rwanda, South Sudan and Burundi also border the region.

More than 11,000 people have been vaccinated in this outbreak.

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