L’horaire d’hiver entre en Europe alors que sa suppression est débattue



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À l'aube du samedi 27 au dimanche 28 octobre, les citoyens de l'Union européenne (UE) vont retarder leurs horloges d'une heure, ce qui constitue un changement réglementé dans la législation européenne que la Commission européenne (CE) a l'intention d'éliminer l'an prochain.

La nuit du samedi au dimanche, les Européens dormiront une heure de plus, car les horloges seront retardées d’une heure, de sorte qu’à 03h00, elles seront 02h00, dans le cas de l’Espagne.

Dans le cas des îles Canaries, ce changement d'horaire s'applique également et continuera à maintenir une différence d'heure avec le temps péninsulaire.

Ce week-end, trois États membres (le Royaume-Uni, l'Irlande et le Portugal) vont s'ajuster au calendrier GMT.

Dans les cas de l'Espagne, de l'Autriche, de la Belgique, de la République tchèque, du Danemark, de la France, de l'Allemagne, de la Hongrie, de l'Italie, du Luxembourg, de Malte, de la Pologne, de la Slovaquie, de la Suède, de la Croatie et des Pays-Bas, les horloges seront placées à GMT + 1.

De leur côté, la Bulgarie, Chypre, l'Estonie, la Finlande, la Grèce, la Lettonie, la Lituanie et la Roumanie retarderont l'heure GMT + 2.

La CE a proposé en septembre dernier de modifier cette législation et a appelé les États membres, qui ont le dernier mot, à décider s'ils seront régis de manière permanente par les périodes estivale ou hivernale.

L'exécutif communautaire, qui exhorte les États à s'accorder sur leur position "de manière coordonnée entre les pays voisins", propose que le dernier changement obligatoire de l'heure d'été ait lieu le dimanche 31 mars 2019.

À partir de ce moment, les États membres souhaitant revenir à l'heure d'hiver pourraient opérer un dernier changement d'heure le dimanche 27 octobre 2019.

Au-delà de cette date, il ne serait plus possible de modifier l'heure dans le temps, selon la proposition de la Commission européenne qui rappelait que ce calendrier était soumis à l'adoption de la proposition par le Parlement européen avant le 20 mars 2019. le Conseil (les pays).

Cependant, il existe des pays comme l’Autriche, qui assume la présidence tournante de l’Union européenne ce semestre, qui propose de reporter la décision à 2021.

Différentes études menées en 2018 ont indiqué que les économies d'énergie réalisées avec cette mesure étaient minimes, tout en augmentant le nombre de plaintes des citoyens concernant leurs effets négatifs sur la santé.

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