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Mis à jour
19 octobre 2018 17:06:15
Photo:
Dr William Russell Mbadingham Pridgeon (à droite) conduit dans le pavillon de surveillance de Brisbane. (AAP: Darren England)
Le cerveau présumé d'un réseau de contrebande de femmes et d'enfants en Australie sera obligé de porter un GPS, lorsqu'il sera libéré sous caution.
Points clés
- Un médecin accusé d'avoir financé un syndicat de voleurs a été libéré sous caution
- Le syndicat aurait aidé des mères qui avaient pris des enfants de leurs pères
- Une enquête de deux ans menée par l'AFP a abouti à des accusations
William Russell Pridgeon, 64 ans, est accusé de financer le syndicat, qui aurait aidé les mères qui avaient commis des enlèvements parentaux.
La police fédérale australienne a déclaré que les femmes et les enfants étaient cachés dans divers endroits du pays, utilisant des pseudonymes et des déguisements pour éviter les autorités.
Le docteur Pridgeon est accusé de complot en vue de faire échec à la justice et de commerce de produits de la criminalité.
Vendredi, la police a ajouté des charges, notamment de harcèlement criminel et de vol d’enfants.
Le Dr Pridgeon a été extradé de NSW vers le Queensland et a été libéré sous caution cet après-midi devant le tribunal de première instance de Brisbane dans des conditions strictes.
Les enquêteurs affirment que plusieurs mères ont contacté le réseau car elles craignaient que leurs enfants soient abusés baduellement par leur père.
En violation des décisions de justice, ils ont ensuite pris la fuite avec l'aide du réseau, selon la police.
"Le niveau de sophistication de cette affaire, en particulier de la communication cryptée, est badez élevé", a déclaré la procureure du Commonwealth, Christine Wilson.
Les procureurs ont déclaré qu'ils étaient disposés à accepter la libération sous caution du Dr Pridgeon s'il acceptait de se présenter quotidiennement à la police, de ne pas venir dans le Queensland, à moins que des affaires judiciaires, ne lui remettent ses pbadeports australien, néo-zélandais et zimbabwéen et s'éloignent des médias sociaux.
Il n'est également pas autorisé à contacter des témoins ou d'autres coaccusés.
La police a déclaré que le docteur Pridgeon, un généraliste et fondateur du parti politique anti-pédophile, aurait acheté un yacht et prévoyait de quitter le pays, éventuellement avec des mères et des enfants.
Mais l'avocat de la défense, Andrew Owens, a déclaré que c'était faux.
"Il a un yacht… il veut prendre sa retraite prochainement et cela allait être une aventure pour lui", a déclaré M. Owens.
Patrick Finbar McGarry O'Dea, un autre coaccusé, âgé de 63 ans, a également été libéré sous caution avec des conditions similaires.
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La police a arrêté un homme de 63 ans, Grafton, pour son badistance présumée au syndicat des enlèvements d'enfants. (Fourni: AFP)
La police allègue que M. O'Dea a utilisé les médias sociaux pour décrire certains des pères en détention dans des affaires de garde à vue comme des agresseurs d'enfants.
Les deux hommes vont retourner au tribunal à Brisbane le 7 décembre.
Les hommes ont été arrêtés lors d'attaques menées par des enquêteurs de la police fédérale australienne dans tout le pays, notamment Dubbo et Grafton à NSW, Townsville dans le Queensland et à divers endroits de Perth.
La police a déclaré qu'au cours de ses deux années d'enquête, 10 enfants avaient été renvoyés en toute sécurité après avoir été enlevés.
Cinq d’entre eux sont liés à ce groupe, a indiqué la police.
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D'abord posté
19 octobre 2018 16:17:27
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