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Plutôt que de se livrer au travers d’une interview, David Hallyday a choisi de s’exprimer dans un livre. Dans Tu ne m’as pas laissé le temps, le fils de Johnny Hallyday évoque entre autres sa relation avec son beau-père Tony Scotti, marié à Sylvie Vartan depuis plus de trente ans.
En 1999, David Hallyday sortait l’un de ses tubes les plus célèbres, Tu ne m’as pas laissé le temps. Près de vingt ans après, l’artiste réutilise ce titre pour donner un nom à l’ouvrage qu’il vient de publier chez Hugo Image en collaboration avec le journaliste Laurent Lavige. Un récit dans lequel le musicien de 52 ans aborde plusieurs aspects de sa vie et évoque même un homme ayant joué un rôle important dans son évolution: Tony Scotti. Ce producteur américain qui fait office de seconde figure paternelle pour David Hallyday a épousé Sylvie Vartan en 1984, quatre ans après que la chanteuse a divorcé du Taulier. Au sujet de ce père de substitution, David ne tarit pas d’éloges. « Tony Scotti a été d’une importance énorme dans ma vie de famille recomposée qui est souvent un carnage. Il a su soulager beaucoup de mes peines. »
D’une part, le producteur a aidé David Hallyday à mettre le pied à l’étrier professionnellement parlant. « Il a su m’enseigner le professionnalisme dans mon métier », insiste le musicien. Plus qu’un conseiller technique, l’Américain est rapidement devenu une seconde figure paternelle lors des absences de Johnny Hallyday. « Le fait qu’il me porte un intérêt dès qu’il a été avec ma mère a simplifié les choses, se rappelle David Hallyday. Il s’est occupé de moi et a été un élément important dans mon caractère en tant qu’homme ». La proximité entre les deux hommes était d’ailleurs telles qu’elle a fini par agacer embêter Johnny Hallyday. Le Taulier, comme il l’a lui-même confié dans son autobiographie Destroy, était jaloux du lien forgé entre son fils David et le producteur. Aujourd’hui, David Hallyday rend en tout cas un vibrant hommage à Tony Scotti. « Si je suis bien dans mes baskets, c’est notamment grâce à lui, badure-t-il. Je n’aurai pas pu être mieux loti. »
Crédits photos : Agence / Bestimage
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