Donald Trump utilise un iPhone non sécurisé



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ÉTATS-UNIS – Des responsables actuels et anciens liés à Donald Trump ont révélé que des espions russes et chinois tiraient parti d’appels pris et pbadés sur le téléphone portable personnel du président américain, alors que ses collaborateurs l’ont mis en garde à plusieurs reprises, affirmant qu’il était vulnérable à une telle infiltration, selon un rapport publié mercredi 24 octobre par le New York Times.

Peut-être le plus frustrant, ont indiqué des sources anonymes, est que Donald Trump a continué à utiliser son iPhone personnel même après que ses collaborateurs lui aient dit que des agents étrangers l’avaient piraté avec succès, leur permettant probablement de mieux comprendre comment ils pourraient le manipuler, ainsi que les personnes de son administration.

Selon Donald Trump, il n’est pas pratique de compter uniquement sur la ligne téléphonique de la Maison Blanche. Cependant, celui-ci semble pbader des appels sur son téléphone portable chaque fois qu’il ne souhaite pas qu’une conversation soit enregistrée, par exemple lorsqu’il converse avec des personnes de Fox News.

Trois téléphones

Les agences d’espionnage américaines estiment que la Chine écoute le président dans l’espoir d’empêcher l’escalade d’une guerre commerciale avec les Etats-Unis, et a établi une liste de personnes que Donald Trump communique fréquemment aux personnes susceptibles de l’influencer.

La Russie mène elle probablement une opération moins sophistiquée, compte tenu de la proximité de Donald Trump avec Vladimir Poutine, ont indiqué les mêmes sources au New York Times.

Celles-ci ont confié au quotidien américain que, bien que le président américain dispose de deux iPhone officiels “bricolés” par la National Security Agency pour limiter leur vulnérabilité, il conserve un troisième téléphone personnel contenant des contacts sans aucun ajustement de sécurité similaire.

Son indifférence présumée vis-à-vis du risque pour la sécurité est, malgré les critiques qu’il a toujours adressées à Hillary Clinton pour avoir utilisé un serveur de messagerie privée alors qu’elle était secrétaire d’Etat, une interrogation que les républicains et les médias de droite ont soulevé pendant toute la durée de sa campagne présidentielle.

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