Jamie Lee Curtis, son addiction à la drogue : “Personne ne savait”



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Alors qu’elle effectue un retour tonitruant avec Halloween, le 11e film de la franchise, Jamie Lee Curtis s’est confiée sur un terrible secret qu’elle a caché à tout le monde. Au magazine People, dont elle fait la couverture de novembre 2018, l’actrice de 59 ans s’est dite chanceuse d’avoir survécu à une addiction secrète aux opiacés. Une période sombre qu’elle raconte enfin, après l’avoir trop longtemps gardée pour elle seule.

Je faisais face à une courbe pandémique d’usage d’opiacés“, confie la star dont la terrible addiction a duré une décennie, dix ans “à voler, à comploter“. “Personne ne savait. Personne“, révèle la comédienne dont le père, l’acteur Tony Curtis, avait abusé de l’alcool, la cocaïne et l’héroïne durant son existence. Le demi-frère de l’actrice Nicholas Curtis a quant à lui succombé à une overdose en 1994.

C’est pourtant bien avant que la période sombre de Jamie Lee Curtis débute. En 1989, elle se voit prescrire des opiacés après une petite opération chirurgicale sur ses “yeux bouffis héréditaires“. Les antidouleurs feront dès lors partie de son quotidien, la poussant même à voler des pilules à des amis ou à des membres de la famille comme sa grande soeur Kelly, qui sera la première à apprendre son addiction en 1998.

Jamie Lee Curtis décide alors de se soigner et commence à fréquenter un groupe d’aide en février 1999. C’est là qu’elle avoue tout à son mari depuis trente-trois ans, Christopher Guest (ils ont eu deux enfants ensemble, Annie, 31 ans, et Tom, 22 ans). “Je suis en train de cbader le cycle qui bien évidemment a détruit les vies de générations dans ma famille, se souvient Curtis. Devenir sobre reste mon plus grand accomplissement… plus grand que mon mari, plus grand que mes deux enfants et plus que n’importe quel travail, succès ou échec.

Voilà vingt que Jamie Lee Curtis, vue ensuite dans Freaky Friday et la série New Girl, n’a plus touché à un opiacé. Elle fréquente encore des réunions de toxicomanes, où elle apporte son aide. “Dans les réunions, si quelqu’un amène le sujet des opiacés, la salle entière se tourne vers moi parce que je suis genre ‘Oh, par ici, parle-moi. Je suis la fille aux opiacés‘”, ironise-t-elle.



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