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À l’occasion de la sortie du film “Les chatouilles” mercredi, Karin Viard s’est confiée sur ses relations avec certains hommes qu’elle qualifie de “prédateurs baduels” avec lesquels elle préférait “pbader à la cbaderole plutôt que de [se] rebeller.”
L’actrice française Karin Viard à l’affiche du film Les chatouilles, en salle mercredi prochain, a confié qu’elle avait été victimes de “prédateurs baduels qui ont anesthésié [ses] sensations”, dans une interview accordée à Gala publiée mercredi.
Des “prédateurs baduels qui ont anesthésié mes sensations”. “Je suis tombée sur des prédateurs baduels qui ont anesthésié mes sensations, et j’ai préféré ‘pbader à la cbaderole’ plutôt que de me rebeller parce que ça me paraissait plus simple”, a raconté Karin Viard. Ce n’est que lorsque l’affaire Weinstein, du nom de ce magnat de l’industrie du cinéma américain accusé de multiples viols et agressions baduelles, a éclaté que la quinquagénaire a réalisé ce qu’elle avait vécu. “Avant cette affaire-là, je n’avais pas pris conscience qu’il y a des gens qui portent en effet en eux l’ADN du prédateur”, a-t-elle confiée au magazine.
“J’étais une oie blanche”. Elle explique cette relation abusive avec certains hommes par son enfance pas tout à fait rose. Lorsque ses parents se séparent alors qu’elle est enfant, Karin Viard est confiée à ses grands-parents. Elle souffre alors de ne pas avoir été regardée par son père. “J’étais une oie blanche, j’avais une certaine naïveté, une sorte de candeur”, une innocence dont certains hommes ont abusé.
Dans le film Les Chatouilles, Karin Viard interprète la mère d’une jeune femme qui dévoile à 30 ans qu’elle a été violée dans son enfance par l’ami de ses parents.
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