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Être nommée, cette année encore, aux NRJ Music Awards dans la catégorie Artiste féminine francophone, c’est un cadeau avant Noël ?
Les NMA, c’est un moment spécial pour moi. Je n’ai raté aucune des dix-neuf éditions. D’abord, devant mon écran. Quand j’étais petite, je rêvais de faire ce métier et n’osais imaginer qu’un jour je serais sur cette scène. Alors maintenant que ça arrive, oui, je le prends comme un cadeau. J’en mesure l’importance et je remercie le ciel de m’avoir offert cette possibilité. Vous n’imaginez pas le frisson que cela représente d’arriver à Cannes, de chanter sur cette scène, de vivre cette soirée.
La cérémonie fête sa vingtième édition. Quels souvenirs en gardez- vous ?
Avant les souvenirs, j’aime l’idée de retrouver les amis du métier. C’est peut-être le plus important. Sinon, je me souviens de deux moments : mon duo avec Charlie Puth. Je n’ai jamais entendu quelqu’un d’aussi doué, c’était plein d’émotion. Et, un jour, je me suis retrouvée dans une voiture avec Ed Sheeran. Une rencontre de quelques minutes seulement et, pourtant, nous n’avons jamais perdu le contact depuis. Je l’aime beaucoup. Il m’a invitée à chanter quand il a fait ses concerts au Stade de France, l’été dernier. C’était dingue ! Nous avons pbadé l’après-midi ensemble. L’Angleterre disputait un match du Mondial ce jour-là, et il chantait, comme tous les Anglais, It’s Coming Home (« La coupe vient à la maison », ndlr). Nous étions dans le vestiaire de l‘équipe de France 98, et moi je lui disais “Non, non, it’s not coming home !”
En 2000, la première Artiste francophone de l’année était Mylène Farmer. La dernière en date, vous…
Mylène, Jenifer… Avoir mon nom à côté des leurs, c’est fou !
Une interview réalisée par Jérémy Parayre, à découvrir en intégralité dans le nouveau Télé 7 jours.
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