Mireille Mathieu : «Hanouna n’est pas celui que l’on croit»



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« Vous pouvez nous laisser seul ? » Elle est comme ça, Mireille Mathieu. Avant toute interview, elle demande à son staff de sortir de la pièce puis fait quelques vocalises. Ce jour-là, la chanteuse nous reçoit dans une loge de « C à vous » après avoir répondu aux questions d’Anne-Sophie Lapix et sa bande sur la sortie de « Mes clbadiques », un nouvel album qui reprend des grands airs d’opéra. Un lieu adéquat pour parler télé.

Vous teniez à débuter la promo de votre album sur le plateau de « C à vous », vendredi dernier. C’est votre émission préférée ?

MIREILLE MATHIEU. C’est le must ! Ce programme est un mélange de bonne humeur, d’élégance et de bienveillance. Tout ce que j’aime. Anne-Elisabeth Lemoine et Marion Ruggieri sont au top. Sans parler des super conditions pour les artistes qui chantent en live.

D’après nos informations, Cyril Hanouna a prévu un « Touche pas à mon poste » spécial Mireille Mathieu, le 19 novembre. Plutôt surprenant !

C’est moi qui l’ai sollicité. Mais j’ai posé mes conditions : être debout à côté de lui, pas badise avec les chroniqueurs. On a préparé ma venue dans un salon d’un grand hôtel. J’ai rencontré un homme courtois, extrêmement gentil. On le fait pbader pour un autre, mais Cyril Hanouna, c’est un vrai chef qui aime son équipe, qui défend ses chroniqueurs. Les polémiques, je ne suis pas au courant. Après, on ne peut pas plaire à tout le monde.

Vous pourriez faire le Grand Chelem des talk-shows d’access prime en allant dans « Quotidien », sur TMC ?

Jamais. Je suis fâchée à vie avec Yann Barthès. Pareil pour Laurent Ruquier. Je leur ai fait deux procès (NDLR : un perdu, contre « Le Petit Journal » qui a diffusé en 2012 un extrait d’interview de la télévision russe dans lequel Mireille Mathieu apportait son soutien à Vladimir Poutine contre les Pussy Riot. Un gagné, contre France Télévisions pour diffamation suite à ces mêmes extraits, NDLR). Ils ont tous les deux franchis la ligne rouge en tenant des propos mensongers. C’est allé trop loin. Même s’ils me présentaient des excuses aujourd’hui, je n’en voudrais pas. Ils m’indiffèrent. Je les ignore, qu’ils m’ignorent. Chacun son chemin. En revanche, je regrette qu’il n’y ait presque plus d’émissions de variétés. Je ne comprends vraiment pas que France 2 se sépare de Patrick Sébastien. Patrick, il aime la chanson, il aime les artistes. Il fait son métier avec son cœur.

Être jurée d’un télécrochet, comme Julien Clerc dans la prochaine édition de « The Voice », ça vous tenterait ?

On me l’a déjà demandé à l’étranger, mais j’ai toujours refusé. Ça me gêne de juger quelqu’un. J’en suis incapable. Et souvent les candidats sont meilleurs que les jurés. Pourtant, je suis issue du « Jeu de la chance », un radio-crochet. Sauf qu’à l’époque, on était uniquement sauvé par le public qui appelait en direct. Il ne peut pas y avoir meilleur choix.

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Il paraît que vous regardez souvent le 13 Heures de TF1…

Je suis fan de Jean-Pierre Pernaut. C’est une institution. C’est la France, c’est le terroir. Il a été le premier à avoir mis les régions en avant. Il parle souvent du Nord, d’où il vient. Je serais triste s’il s’arrête un jour. Il est au-dessus du lot. Tout comme William Leymergie, Claire Chazal et Caroline Roux.

Vous citez aussi Stéphane Bern, parmi vos amis…

Stéphane, je l’aime énormément. J’ai acheté des billets de grattage pour participer à la sauvegarde du patrimoine. C’est important, sa mission. On a des églises, des lavoirs, des moulins complètement délabrés qu’il faut préserver. J’ai vu qu’il a été beaucoup critiqué, mais on devrait le remercier ! Le patrimoine, c’est nos racines, notre vie. Ça nous concerne tous.



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