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« Picbado aurait aimé ma tenue », a posté sur Instagram l’influenceuse australienne Newsha Syeh depuis la cour carrée du
Louvre. Selon elle, cette tenue lui a valu « d’être stoppée à l’entrée [du musée] par un garde », a-t-elle écrit sur le réseau social dans sa story, repérée par le Daily Mail puis par BFM TV. La jeune femme parle de « la haine » qu’elle a vue dans les yeux du garde.
Elle affirme avoir été victime de « slut-shaming ». Elle aurait été stigmatisée à cause de sa tenue très échancrée. Newsha Syeh affirme qu’elle ne savait pas qu’il y avait un dress code au Louvre et aurait compris ce refus si elle avait dû visiter un lieu sacré comme une église.
L’influenceuse a pourtant, semble-t-il, eu accès au musée, car elle a posté une photo depuis la salle des caryatides, le 6 novembre.
Contacté par 20 Minutes, le musée du Louvre n’a pour l’instant pas réagi. Sociologue et chercheur à l’ISC Paris spécialiste du digital, Catherine Lejealle n’est pas surprise par la réaction du musée face à la tenue de l’instagrameuse. « Il y a des codes. On participe à l’environnement, il y a un formalisme minimal quand on y va. » A la question de savoir si Newsha Syeh n’a pas utilisé la notoriété du Louvre – musée européen le plus « hastaggé » d’Europe avec plus de 3 millions de citations selon une étude menée par
la plateforme Holidu – pour badeoir la sienne (elle compte tout de même 260 000 abonnés sur Instagram), elle répond : « C’est possible. Elle profite du Louvre, car ça parle à tout le monde. »
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