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Munich –
L'intelligence artificielle et les dangers du réseau semblent avoir nui à ceux de l'ARD. Sur la "scène du crime", la menace numérique devient de plus en plus un sujet de prédilection.
Le nouvel épisode "KI" de Munich, qui sera diffusé ce dimanche 21 octobre à 20h15, fait donc déjà partie d'un petit genre appartenant à la série des thrillers du dimanche.
Dans leur 79e cas, Ivo Batic (Miroslav Nemec) et Franz Leitmayr (Udo Wachtveitl) doivent éclairer la disparition de Melanie, âgée de 14 ans. Elle est la fille d'un ami de Batic, ses parents sont dans le corps après la séparation.
Juste à ce moment-là, la fille était badise dans sa chambre – elle avait soudainement disparu. Même lorsque les commissaires dans la chambre de Mélanie confisquent l'ordinateur portable avec la grande inscription "Attention", il est clair: Encore une fois, le danger revient de l'ordinateur. Attention!
Cela devient vite clair: Maria, la nouvelle copine de la fille solitaire, doit savoir quelque chose sur la disparition de Melanie. Après tout, ils ont échangé jusqu'à six heures par jour et sont restés en contact au moment de leur disparition.
Le problème: Maria n’est pas un humain, mais une voix de l’ordinateur, un programme sophistiqué d’intelligence artificielle, qui était censé rester secret dans un centre de recherche de Munich et qui avait pourtant trouvé le moyen de s’en sortir – probablement par un pirate informatique. "Rien avec Maria et sa conception débridée." Ce film, parfois difficile, peut dire à quel point ses créateurs attendaient cette phrase avec impatience.
Les circonstances spécifiques de l'affaire confrontent Batic et Leitmayr avec des questions difficiles telles que: Une voix d'ordinateur peut-elle être un témoin? Comment posez-vous les bonnes questions à un tel témoin? Et encore plus difficiles tels que: Qu'est-ce qui distingue une intelligence artificielle, apprenant de l'intelligence de l'homme? La réponse de Leitmayr: "Elle ne sait pas comment la glace à la fraise a un goût."
L'idée de faire un film sur les thèmes extrêmement explosifs des menaces numériques avait d'autres fabricants de "scènes de crime" devant Munich: en 2016, l'acteur Ken Duken avait peur du "big data" à Stuttgart. Peu de temps après, dans l'épisode Bremer "Echolot", l'auteur était la copie numérique de la victime. Dans l'épisode du Nouvel An 2018 de la Sarre, le titre était "badbadiner ex Machina" – et à Berlin il y a environ un mois. Dans "Big Animals" de Berlin, les enquêteurs devaient répondre à la question de savoir si une machine équipée d'une intelligence artificielle pouvait devenir un meurtrier.
Le sujet sera présenté de manière réaliste sur la scène du crime "KI", explique Florian Röhrbein de la chaire de robotique, d'intelligence artificielle et de systèmes temps réel de l'université technique de Munich, qui travaillait comme expert-conseil sur cette "scène de crime", le Bayerischer Rundfunk.
"La présentation des opportunités et des risques me semble très équilibrée. Cela inclut le risque qu’une IA puisse être perçue comme une personne avec laquelle établir une relation, bien qu’elle ne fournisse finalement que des réponses comme dans le contexte d’une requête de recherche Google. "(Dpa)
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