Ce qui est derrière la lettre de Tsipra aux chefs des partis politiques – Nouvelles – nouvelles



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Alors que l'opposition tente de changer l'agenda politique, la lettre du Premier ministre Alexis Tsipras aux chefs de partis politiques afin de contribuer au lancement du processus de révision de la Constitution.

ND n’aurait manifestement pas fait objection à ces procédures, à condition que toutes les propositions de toutes les parties à l’étude aient été soumises à discussion. En un mot, les universités privées, y compris l'abolition de l'asile, sont également en discussion. KINAL entre dans la procédure inconditionnelle, comme cela a été décidé lors d'une réunion tenue au bureau du parti la semaine dernière.

Toutefois, l'opposition (et notamment ND) souligne le fait que le Premier ministre souhaite modifier l'ordre du jour politique de cette manière, car l'opposition continue de traiter de la question de la démission. Nikos Kotziaset la lettre qui l’accompagne.

Dans sa lettre aux dirigeants du parti, M. Tsipras les appelle notamment: "Ne laissez pas les cinq prochaines années, les changements matures de notre constitution, partir."

L'objectif du gouvernement est d'obtenir le plus de consensus possible avec les partis d'opposition. "Au début du mois de novembre, une proposition de révision de la constitution devant être signée par au moins 50 députés doit être déposée.

Le premier vote devrait avoir lieu juste avant la fermeture de la Chambre pour Noël et un mois après le deuxième vote.

La proposition qui sera présentée par le gouvernement entraînera un changement dans la manière dont le président de la République est élu, mais également dans la loi sur la responsabilité des ministres. Il convient de noter que le président de la République de Chypre, Pavlopoulos s'oppose à l'élection directe du chef de l'Etat.

La question des relations État-Église n'a pas encore clarifié ce que le gouvernement veut vraiment. L'opposition au sein du parti SYRIZA veut la séparation complète de l'Etat et de l'Eglise. Cependant, M. Alexis Tsipras, qui maintient toujours un cbad de communication ouvert avec l'archevêque, souhaite trouver une solution qui ne gênera pas l'Église. Cette solution a déjà été commandée par le ministre de l'intérieur Alexis Charitsisqui, dans ses propres discussions, ne parle plus de la séparation des relations entre l’Eglise et l’Etat, mais de … "rapprochement de l’Etat avec l’Eglise" Selon toute vraisemblance, les salaires du clergé seront maintenus par l'État et l'enregistrement de la propriété ecclésiastique

Enfin, le Premier ministre a reçu une lettre d’impbade. Il s’adresse aux chefs de partis de l’arc constitutionnel et comprend à la fois le Katerina Papakosta, ainsi que lui George Papandreou (en tant qu'ancien Premier ministre) en le laissant de côté Panagiotis Lafazanis (qui a aussi un eurodéputé).

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