Deutsche Welle: L'Italie rend difficile la sortie de la Grèce – Dikaiologitika News



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"Chypre peut émettre un cautionnement, mais pas la Grèce pour le moment. C'est la raison pour laquelle, selon le porte-parole grec Efklidis Tsakalotos, une interview avec Reuters, l'inquiétude concernant l'Italie. Peu de temps après la fin du dernier programme d'aide des partenaires européens et du FMI en août dernier, le gouvernement grec a cultivé l'espoir d'une nouvelle émission obligataire. C'est ce qu'il avait annoncé aux investisseurs de Boston et de New York, Euclid Tsakalotos. Mais depuis lors, la nouvelle contrepartie grecque a été retardée ", explique Frankfurter Allgemeine Zeitung dans ses pages financières.

Le quotidien de Francfort affirme dans son discours, Euclid Tsakalotou, que la Grèce subit les conséquences du différend entre l'Italie et la Commission pour le budget italien et que son retour prévu sur les marchés obligataires est "quelque" retardé à cause de ce fait. "Mais le gouvernement n'est pas sous pression", note le journal allemand, tandis qu'Eukl. Tsakalotos dans l’entretien avec Reuters a baduré que le pays contrôlait ses besoins financiers. La FAZ note cependant: "Au total, le pays qui reste fortement endetté a reçu une aide financière de 289 milliards d'euros. La dette publique continue d’atteindre 310 milliards d’euros, ce qui correspond à 180% de son PIB. Il convient de noter que la limite fixée par le traité de Maastricht est de 60%. "

"Les investisseurs devront attendre"

La FAZ note également que "le conflit entre le gouvernement populiste italien et Bruxelles a commencé depuis sa création en juin. En septembre, malgré les turbulences sur les marchés internationaux, Chypre a osé émerger sur le marché obligataire et a reçu 1,5 milliard d'euros. La demande des investisseurs était quatre fois plus élevée. En février, la Grèce a réussi à émettre une obligation de sept ans, préalable indispensable à la fin du programme d’aide. Après 2010, il devra à nouveau émettre un emprunt obligataire de 10 ans, mais les investisseurs devront attendre. Avec un rendement de 4,2% sur dix ans, la Grèce reste attractive pour l’Allemagne (0,2%). Même Chypre offre un rendement nettement inférieur de 2,4%. "

Mais ce taux élevé de rendement du capital en Grèce reflète le risque persistant, note la FAZ, ajoutant: "Compte tenu du niveau très élevé de la dette, il est douteux que la Grèce le fbade à long terme sans nouveau soutien financier. C'est précisément pour la même raison qu'une nouvelle réduction de la dette ne peut être exclue. Au printemps 2012, les créanciers privés, tels que les banques, les fonds d'badurance, les fonds et les petits investisseurs, ont été invités à renoncer à leurs créances s'élevant à 107 milliards d'euros. "

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