FADA Explications pour le prix du contrat AIA Les entreprises



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Le prix de 1 115 milliards d’euros, selon les dirigeants de la CEFTA, est le résultat de sa propre négociation, c’est-à-dire du Fonds avec les actionnaires de AIA.

La couverture a été fournie par l'administration actuelle du TAIFA dans les décisions des administrations précédentes du Fonds de privatisation, concernant la révision du prix de l'extension du contrat de concession AIA de 20 ans. Dans le même temps, l’administration du CAFIA, du fait que le problème était politique, a tenté d’expliquer comment le changement de prix avait été d’environ 137% en deux ans. En particulier, 483 millions d’euros (600 millions avec TVA) ont finalement été révisés à 1 115 milliards d’euros (1 383 milliards d’euros avec TVA).

Hier, devant des journalistes, des responsables de l'administration du Fonds de privatisation ont déclaré que la modification du prix de l'extension de la concession d'AIA était due à deux facteurs: premièrement, les retards dans l'adoption du contrat initial et deuxièmement, le changement radical des données. , qui accompagnait l’évaluation du droit concerné. S'agissant de la première, les dirigeants du Fonds ont évoqué un retard de trois ans, car les données accompagnant l'opération étaient une année de base en 2015 et ont été clôturées en 2018. Parallèlement, il y a eu une rapide augmentation modifier les données accompagnant l'accord.

En particulier, 2015 a été une année particulièrement négative pour la clôture de telles opérations (contrôle des capitaux, rendement des obligations à 10 ans de 8,4%). En revanche, en 2018, les conditions macroéconomiques se sont nettement améliorées, le rendement des obligations à 10 ans atteignant 4,3%. Plus important encore, il y a eu une amélioration significative des données commerciales dans AIA. Le contrat initial, par exemple, prévoyait un taux de croissance à un chiffre du trafic pbadagers sur les deux années 2017-2018. Cette hypothèse, deux ans plus tard, était découragée, car le développement était finalement à deux chiffres.

En dépit des questions persistantes des journalistes sur le point de savoir si l'erreur du Fonds de privatisation est reconnue dans le processus d'évaluation de la valeur du droit transféré, les dirigeants de TAIPE ont répondu négativement. Ils ont seulement noté que le modèle utilisé et les hypothèses des données qui l'avaient alimentée avaient été testés plusieurs fois par des sociétés reconnues telles que PwC, KPMG, Steer Group et ICF.

"Le marché est dynamique", a déclaré un responsable du TEPEP, soulignant que cet élan avait eu des résultats positifs pour le gouvernement grec. Cela a été reflété dans d'autres contrats révisés, tels que ceux de DESFA et EACSY. Dans le premier cas, le prix a été révisé de 400 millions d'euros à 535 millions d'euros, dans le second, de 9 millions d'euros à 22 millions d'euros. Il a toutefois noté lui-même que la dynamique du marché aurait pu être négative.

Le prix de 1 115 milliards d’euros, selon les dirigeants de TAIFA, est le résultat de sa propre négociation, à savoir le TAIPE avec les actionnaires de AIA. Ils ont également souligné que le prix n'était pas imposé par la direction générale de la concurrence (DG Comp). De plus, avec le nouvel accord, le prix est ajusté (proportionnellement) pour chaque jour après le 01/01/2019, de 10,5% sur une base annuelle. Toutefois, les membres du TAEPED ont estimé que le contrat serait ratifié par le Parlement grec avant la fin de l'année et que l'opération serait menée à bien.

Il est à noter que le contrat d'extension de 20 ans de la concession AIA a commencé à être discuté en mars 2016 entre le RICA et AIA et que l'accord initial a été conclu un an plus tard. La fin du mois de juin 2017 était la première notification préalable à la DG Comp et sa notification finale en octobre 2017, après sa signature par les ministres des finances responsables, Eucl. Tsakalotos et Transport Chr. Esprits

La DG Comp jusqu'en avril 2018 n'a pas donné son feu vert lorsque les deux parties, FADD et AIA, conscientes de l'intention négative des autorités européennes de l'approuver, lui ont communiqué un nouveau projet d'accord avec le prix révisé. Cet accord attend maintenant l'approbation de la Cour des comptes et sera soumis à nouveau à la DG Comp pour les prochains jours.

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