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Dans une impbade, selon la direction générale de l'énergie de la Commission, discussions avec le RIS sur l'interconnexion de la Crète
Claus – Dirther Boehring, directeur du marché intérieur de l’énergie de la Commission européenne, a conclu les négociations techniques avec le ministère de l’Environnement et de l’Énergie pour la réalisation du projet d’interconnexion électrique entre la Crète et l’Attique. des projets d’intérêt public.
Selon Euro2day.gr, M. Borard, adressé hier à Michalis Nikolaikas, directeur du cabinet du ministre George Stathakis, a mis fin aux discussions sur la feuille de route, la carte présentant le calendrier des actions à suivre. L’autorité de régulation de l’énergie, l’UDMR et l’interconnecteur Euroasia pour mettre en œuvre le projet PCI. Le directeur général de la direction générale de l'énergie, M. Nicolakis, au début de la lettre, qui répond à celle du 24 octobre, note: "J'arrive à la conclusion qu'il ne reste plus rien à faire pour sortir de l'impbade du plan d'investissement Interconnecteur Euroasia (Israël – Chypre – Crète – Attique) ".
Il cite maintenant le chef du commissaire à l'énergie, Miguel Aria Caniette, en déclarant: "J'ai décidé d'informer le commissaire Jorge Caniète de l'échec de la procédure proposée par la direction générale de l'énergie. Le commissaire pourrait réitérer le point de vue de la Commission sur les dernières observations de la partie grecque. "
M. Borard réitère également les efforts du yen. La Direction de l'énergie "vivra l'intégralité du projet PCI, mettra en œuvre la section Crète-Attica dans le temps mais reviendra aussi sur la partie grecque de la décision unilatérale de RAE concernant la réglementation des projets PCI et restera dans ce régime" et la section Crète – Attique ".
Que dit RIS
Par ailleurs, le directeur du cabinet du ministre George Stathakis, dans une lettre adressée à M. Mochard le 24 octobre, a une nouvelle fois exprimé la "profonde préoccupation" de la partie grecque concernant la sécurité d'approvisionnement en Crète, étant donné que les permis environnementaux des installations de production de l'île expirent en 2022 ".
Mais quelles sont ces préoccupations?
Comme le montre la correspondance adressée à Euro2day.gr, le 8 octobre à Bruxelles, les parties ont convenu de créer un comité pour résoudre les problèmes d'interopérabilité technique du projet Israël – Chypre – Crète – Attique, ainsi que pour mener à bien concours distincts pour chacune des sections des interconnexions, mais dans le processus d’élaboration de la feuille de route, Bruxelles a évoqué le fait que les concours seraient organisés pour l’ensemble des interconnexions électriques. Le ministère du PEN veut être distinct pour la partie Crète – Attique, car il s’agit de la pièce la plus mature à construire contrairement à celle de Crète – Chypre qui est "techniquement immature conformément aux" organismes nationaux et européens "tels qu’il est décrit. Michalis Nikolakakis.
En outre, comme l'a signalé le PNUD, les autorités de réglementation du pays n'ont pas encore concrétisé le projet israélo-chypriote.
L’autre problème soulevé par le directeur du cabinet du ministre est que la Commission a demandé que le capital-actions du véhicule à vocation spéciale d’Ariadne Interconnection (SPV) pour gérer l’interconnexion entre la Crète et l’Attique soit réduit. IDEM a fourni à l'entreprise 200 millions d'euros. Notez que le budget de la "Crète – Attique" avoisine le milliard. euro. M. Nikolakakis laisse une fenêtre de débat sur cette proposition mais souligne l'inquiétude face aux éventuels problèmes financiers qui pourraient survenir étant donné que "l'interconnexion devrait débuter au premier trimestre de 2019 et nécessite une crédibilité financière pour pouvoir prétendre à un financement". .
Les sources de UDMI ajoutent également que "Euroasia Interconnector a elle-même proposé par écrit que le capital social de la société de capital de risque répondrait à 30% du budget du projet. Et au moment de mettre l'argent sur la table, il a présenté 24 000 euros … ".
En dehors de cela, les cercles ISPA soulèvent également des questions quant à la crédibilité d'Euroasia Interconnector lui-même, qui a été choisi comme organe de mise en œuvre de l'interconnexion Israël – Chypre – Grèce. Ils font valoir que sa structure d'actionnaires n'est pas claire, qui sont les administrateurs, ni où se trouve son siège … et des questions sont soulevées quant au savoir-faire des intérêts chypriotes de la société.
Que faire avec le câble de la Crète
Les problèmes qui se sont posés après le "naufrage" des négociations, qui, selon Bruxelles, ont été causés par la "décision unilatérale de RAE de céder à une société de protection de la Crète – Attique" sont les suivants:
1. S'il existe une marge de négociation politique entre la direction des RIS et le commissaire à l'énergie pour maintenir ce travail sous statut PCI.
2. Si la partie grecque procède seule, le département de Crète-Attique, compte tenu des risques de sécurité d'approvisionnement sur l'île. En 2020-2021, les unités de l'île doivent être retirées pour des raisons environnementales.
3. Si la Grèce demande une extension des unités de production d'électricité de PPC de 0,00%, compte tenu de la récente déclaration de la commissaire Caniète (réponse au député européen Stelios Kouloglou) selon laquelle elles ne peuvent pas être exclues des directives communautaires sur les polluants industriels. .
4. Si le brin de Crete-Attica est déchargé du statut PCI.
5. Si la partie du projet Crète-Chypre est affectée et compte tenu de la nécessité de lever l'isolement énergétique de Chypre.
euro2day.gr
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