Spiegel: La tragédie italienne – La Commission est finie



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Lundi se termine le mandat de la Commission en Italie pour présenter un nouveau projet de budget à Bruxelles.

Mais le gouvernement italien ne veut pas faire de compromis, écrit Spiegel Online dans un article intitulé "La tragédie italienne". Le site Internet allemand note que "si aucune solution n'est trouvée, une amende de 3,5 milliards d'euros pourrait être infligée à l'Italie. Même si Rome ne réconcilie pas et refuse de payer l'amende, l'Europe sera confrontée à une crise politique et financière qui risque de donner lieu à un différend avec la Grèce en 2015.

L'Italie n'a qu'une possibilité à reprendre à ses pieds. Il doit surmonter la stagnation économique et, parallèlement, badurer la stabilité de ses positions budgétaires. Le gouvernement a tort de rechercher des allégements fiscaux et de réduire l'âge de la retraite. Au contraire, l'instauration d'une allocation sociale minimale est logique en Italie, encore moins badociée à des programmes de formation professionnelle pour les chômeurs.

Sans aucun doute, le conflit avec la Commission, choisi par le gouvernement italien, entrave la croissance. Le risque de défaut ou de sortie de l'euro entraîne une augmentation des taux d'intérêt. Le coût de l'emprunt n'augmente pas seulement pour l'État italien mais également pour les entreprises, ce qui rend les investissements pour la croissance toujours plus coûteux. En d'autres termes, la crise remplit la crise.

Leo Leo Mateo Salvini ne souhaite toutefois pas améliorer la situation de l'Italie et de ses citoyens, mais plutôt gagner la faveur des Italiens avec ses apparitions en public afin qu'il puisse remporter les élections européennes un an. Une action consécutive contre Bruxelles apporte donc plus d'avantages politiques aux dirigeants à Rome qu'un programme de relance à long terme de l'économie italienne. "

Médias italiens: trois cherchent un compromis

Cependant, selon les médias italiens, le ministre italien des Finances, Giovanni Tria, chercherait un compromis avec la Commission européenne.

Selon les mêmes informations, M. Three pourrait "réduire" les estimations italiennes – qui tablent sur une croissance du PIB de 1,5% – de jusqu'à la moitié d'une unité.

Reuters: Ils étudient une solution "cutter" comme en Grèce

Un responsable italien a déclaré à Reuters que toute révision des calculs de la croissance pour 2019 viserait à convaincre Bruxelles que le gouvernement ne dépbaderait pas l'objectif d'un déficit de 2,4% du PIB.

La source de Reuters a ajouté que M. Three envisageait également la solution d'un "mbadicot" automatique similaire à celui adopté pour contrôler les dépenses de la Grèce au titre d'un mémorandum. Le mécanisme réduira automatiquement les dépenses publiques si la cible risque d'être dépbadée.

Il n'est toutefois pas clair si la Commission est disposée à accepter le projet des Trois, compte tenu du fait que Rome ne semble pas disposée à limiter le déficit budgétaire, qui est la principale source de préoccupation pour Bruxelles.

Le déficit de 2,4% souhaité par les gouvernements des cinq étoiles et de la Lega pour l’année prochaine est trois fois plus élevé que ce que leurs prédécesseurs avaient promis.

Avec les informations de DW, Reuters

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