Très forte volatilité en bourse Les entreprises



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Le CST d'hier a été une période de forte volatilité, en particulier sur le marché des actions, qui a débuté négativement, puis a connu une reprise avec des gains de plus de 1%, qui ont été presque complètement perdus au cours des deux dernières heures. Le marché semble faible pour mobiliser les portefeuilles à long terme en «retirant» une réponse soutenue et, au contraire, avec des sessions internes en hausse et en baisse, crée un terrain propice aux mouvements spéculatifs à court terme. Le faible taux de participation reflète pleinement le manque d'intérêt pour l'investissement et la réticence rigide des portefeuilles étrangers, malgré l'amélioration du marché obligataire et les commentaires positifs de Mario Draghi sur la réduction de l'écart avec l'Italie. La chance "perdue" de la Bourse d'Athènes Auparavant, elle avait dû affronter la reprise des marchés internationaux et son incapacité à se démarquer seule a entraîné une difficile période de continuité. Les Bourses américaines, européennes et asiatiques entraient dans une période de forte volatilité et d'incertitude, laissant derrière elles jours de marché haussier fort et ininterrompu.

L’indice général a fini sur un gain de 0,14% à 633,46 points, tandis qu’intra-journalier atteignait + 1,26%. L’indice des sociétés à forte capitalisation a clôturé à 1,670,09 point, en hausse de 0,04% à 0,06%, tandis que celui du secteur bancaire s’est renforcé de 0,86% à 522,20 points (alors que le taux intraday a atteint + 5,30%) et que le Millions d'euros. Il convient de noter que les fluctuations des banques grecques ont été extrêmement fortes, les actions d’Alpha Bank pbadant de + 7% à -1,82% puis à + 2,30% à la clôture, et d’Eurobank des environs. + 5% puis "plonge" à -3%, clôturant à 1,79%. Ethniki, qui a clôturé à -0,07%, a évolué entre + 3,38% et -3,05% et Le Pirée (clôture à + 3,48%), de + 5,89% -2,16%.

Comme le note M. Loucas Papaioannou, économiste à Fast Finance, un ou deux jours de réponse technique à la bourse grecque n'apportent pas de ressort au marché monétaire ou à l'économie grecque. Les problèmes persistants de l’environnement économique international deviennent de plus en plus apparents, affectant négativement la faiblesse de l’économie grecque et du marché monétaire, tandis que l’indice des banques, en dépit de la réaction récente, doit faire face à de nouveaux désagréments, après la rupture d’un important support technique.

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