L'Australie donne cinq sanctions générales au Myanmar



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Avant cela, les États-Unis et l’Union européenne ont annoncé qu’ils gèleraient les avoirs des officiers, y compris un général

Hidayatullah.com– L'Australie a imposé des sanctions économiques à cinq généraux du Myanmar accusés d'être responsables de la violence à l'encontre des minorités ethniques Rohingya à Rakhine. Des mesures similaires ont été mises en œuvre par les États-Unis et l'Union européenne.

L'Australie gèlera les avoirs des cinq officiers. L'un des cinq était un lieutenant général qui avait dirigé une opération spéciale présumée derrière les atrocités perpétrées contre les Rohingya.

"Les officiers, Aung Kyaw Zaw, Maung Maung Soe, Aung Aung, Than Oo et Khin Maung Soe sont responsables des violations des droits humains commises par des unités placées sous leur commandement", a déclaré la ministre australienne des Affaires étrangères, Marise Payne, selon des informations rapportées. AFPMardi (23/10/2018).

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Les cinq généraux, dont certains auraient démissionné de leurs fonctions, se verront également interdire de se rendre en Australie.

Environ 700 000 musulmans appartenant à l'ethnie Rohingya ont été expulsés de leur ville d'origine à Rakhine depuis 2016.

L’exode a eu lieu l’année dernière lorsque l’armée du Myanmar a lancé une opération de grande envergure à Rakhine.

Les Nations Unies (ONU) ont qualifié l'opération de "nettoyage ethnique" dans la catégorie des Rohingya. Mais le Myanmar a insisté pour opérer à Rakhine uniquement pour traquer des groupes Unami Force de sécurité Rohingya /ARSA ou connu Harakah al-Yaqin accusé d'être responsable d'attaques visant un certain nombre de postes de police.

L'équipe d'enquête des Nations unies a demandé au Conseil de sécurité des Nations unies (DK) de se référer à la situation au Myanmar devant la Cour pénale internationale à La Haye.

Lire: Israël continue d'armer les militaires du Myanmar

L’équipe a proposé une autre option, à savoir que le Conseil de sécurité des Nations Unies ait créé un tribunal international ad hoc comme cela a été fait dans le traitement du cas yougoslave dans le pbadé.

Le Conseil de sécurité des Nations Unies a également appelé à un embargo sur les armes à l'encontre du Myanmar, imposant des sanctions aux responsables, afin de les traîner vers la CPI.

Auparavant, les États-Unis et l'Union européenne avaient annoncé qu'ils gèleraient les avoirs des officiers, dont un général qui aurait commandé des groupes d'opérations spéciales soupçonnés d'être à l'origine des atrocités commises contre les Rohingya *.

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