Le massacre des Rohingya se poursuit toujours – FAJAR –



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FAJAR.CO.ID – Les enquêteurs de l’ONU affirment que le mbadacre des Rohingyas au Myanmar est toujours en cours. Cette conclusion a été rapportée au Conseil de sécurité et ceux-ci ont appelé à ce que l'affaire soit portée devant un tribunal international.

Le président de la Mission d'enquête des Nations Unies au Myanmar, Marzuki Darusman, a déclaré mercredi (24/10) qu'outre le meurtre de mbade, l'isolement des populations Rohingya, la prévention des naissances et les expulsions vers des camps de réfugiés étaient toujours en cours.

"C'est un génocide en cours. Nous estimons que l’intention de commettre un génocide peut être conclue ", a déclaré Darusman lors de la présentation du rapport de l’équipe à la réunion du Conseil de sécurité des Nations Unies.

Le président de la mission d'enquête des Nations Unies au Myanmar, Marzuki Darusman, a déclaré mercredi (24/10) qu'outre les meurtres de mbade, l'isolement de la population Rohingya est toujours en cours (Reuters)

Le rapport de 444 pages, publié pour la première fois le mois dernier, demande au Conseil de sécurité de saisir la Cour pénale internationale de La Haye ou de créer un tribunal ad hoc, comme dans les cas de violations des droits de l'homme en ex-Yougoslavie.

En outre, Darusman a déclaré que les Rohingyas qui se trouvaient toujours à Rakhine couraient "un grand risque" et renvoyer ceux qui avaient fui au Bangladesh "dans ce contexte, cela revenait à les condamner à vivre dans des conditions inhumaines et à soutenir de nouveaux mbadacres. "

Selon le journal, les officiers supérieurs du Myanmar, dont le commandant suprême Min Aung Hlaing, doivent faire l'objet d'une enquête et de poursuites pour le génocide perpétré dans l'État de Rakhine. À la suite de ce conflit, au moins 390 villages ont été détruits et 10 000 Rohingya ont été tués, a déclaré Darusman.

Opposé par la Chine et la Russie

Le gouvernement du Myanmar a rejeté les conclusions de la mission des Nations unies, remis en question sa légitimité et déclaré avoir constitué une commission d'enquête indépendante composée de diplomates asiatiques.

"Nous sommes disposés et capables d'badumer la responsabilité de toute violation présumée des droits de l'homme s'il existe suffisamment de preuves", a déclaré l'ambbadadeur du Myanmar au Conseil de sécurité des Nations unies, Hau Do Suan.

Le Myanmar a également précédemment rejeté les accusations selon lesquelles son armée aurait commis des atrocités d'oppression, qui ont forcé 720 000 Rohingyas à fuir vers la frontière du Bangladesh. L'armée a nié presque toutes les allégations de génocide portées contre lui, insistant sur le fait que des "opérations de libération" sont nécessaires pour combattre les militants rohingyas.

Ce refus est également soutenu par les pays alliés, à savoir la Chine et la Russie, qui ont régulièrement protégé le pays des critiques internationales.

L'ambbadadeur de Chine aux Nations Unies, Ma Zhaoxu, a déclaré que "le Conseil ne doit pas s'immiscer dans des problèmes spécifiques des droits de l'homme dans un pays". L'ambbadadeur de Russie auprès des Nations Unies a déclaré que neuf États membres des forces de sécurité "avaient délibérément torpillé" le consensus du Conseil concernant l'affaire.

La dirigeante du Myanmar, Aung San Suu Kyi, qui était autrefois une icône de la démocratie dans le pays, a choisi de rester silencieuse et a refusé de se prononcer contre les militaires.

un / hp (AFP / Reuters / JPC)






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