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Jakarta, CNBC Indonesia – Bank Indonesia (BI) annonce le déficit du compte courant (Déficit de compte courant/ CAD) au troisième trimestre 2018 s’est élevé à 8,85 milliards de dollars américains. Ce chiffre équivaut à 3,37% du produit intérieur brut (PIB). Historiquement, le dernier trimestre en dollars canadiens a été le plus élevé des 4 dernières années ou depuis le trimestre II-2014. À cette époque, le dollar canadien atteignait 9,58 milliards de dollars américains, soit environ 4,26% du PIB.
Basé sur la recherche L'équipe de recherche CNBC Indonésie, Le DAO CAD est l’un des pires par rapport aux autres pays (pays pair) en Asie. Il suffit de mentionner les transactions actuelles de la Thaïlande et du Vietnam, qui ont encore enregistré un excédent de 4,21 milliards de dollars US et de 1,24 milliard de dollars US respectivement au troisième trimestre de 2018.
D'autres pays voisins, à savoir la Malaisie, ont également enregistré un excédent du compte courant de 0,93 milliard de dollars US au deuxième trimestre de l'année 2108. Pendant ce temps, les Philippines ont enregistré un déficit au cours de la même période, mais sa valeur est toujours meilleure que celle de l’Indonésie, qui s’élevait à 2,93 milliards de dollars. CAD RI est seulement meilleur que l'Inde. À titre d'information, l'État de Bollywood a enregistré un chiffre d'affaires de 15,81 milliards de dollars canadiens au troisième trimestre de 2018.
Alors pourquoi ça? Pourquoi l'IR doit-il devenir l'un des pays avec le pire CAD sur le continent jaune? Au moins, plusieurs raisons structurelles en sont la cause.
Premier, les structures industrielles encore fragiles ont tendance à souffrir de désindustrialisation. Cela ressort de la contribution du secteur de la transformation en déclin à la formation du PIB en Indonésie.
Depuis 2008, la contribution de l'industrie de transformation au PIB a continué de chuter de manière spectaculaire pour atteindre 20,16% en 2017. Même si en 2008, la contribution de ce secteur était toujours de 27,81%. En fait, en 2002, l’industrie de transformation a pu contribuer à 31,95% du PIB national.
Cette situation semble se poursuivre cette année. Au trimestre III-2018, la contribution de l’industrie de transformation n’était que de 20,84%, soit bien moins que la même période de l’année précédente (21,01%).
Alors, qu'est-ce que la désindustrialisation a à voir avec la rupture de la CAO? Il convient de noter que l’élargissement du dollar canadien est en partie dû à la perte de la balance commerciale des biens. Sur la base des données de BI, la balance commerciale s'est inversée en un déficit de 398 millions USD au troisième trimestre de 2018, après avoir toujours enregistré un excédent depuis le troisième trimestre de 2014.
L’aggravation de la balance commerciale des biens est indissociable de l’aggravation du déficit du commerce du pétrole et du gaz, qui a atteint 3,53 milliards USD au deuxième trimestre de 2018, contre 2,76 milliards USD au trimestre précédent.
En revanche, la balance commerciale hors pétrole et gaz a certes enregistré un excédent de 3,43 milliards USD au troisième trimestre de 2018, mais sa valeur a chuté considérablement par rapport à 6,32 milliards USD pour la même période de l'année dernière.
Au cours du troisième trimestre de 2018, les importations autres que de pétrole et de gaz ont enregistré une augmentation de 20,04% sur une base annuelle (année après année/ YoY). L'augmentation était bien plus rapide que celle des exportations de pétrole et de gaz autres que de 9,32% sur un an. Naturellement, si finalement l'excédent commercial hors pétrole et gaz converge.
L'augmentation des importations de matières premières et de biens d'équipement, à 17,2% sur une année et à 22,7% sur une base nominale (en valeur nominale), a contribué à l'augmentation des importations de gaz autres que de pétrole et de gaz.
C'est là que la désindustrialisation mange des "victimes". Les biens d'équipement et les matières premières destinées à la production n'ont pas pu être fournis depuis le pays. En conséquence, dans toutes les économies qui décolleront, les importations augmenteront également toujours fortement.
Non seulement en termes de fourniture de matières premières et de biens d'équipement, la faiblesse de l'industrie contribue également à la faible valeur ajoutée des produits d'exportation indonésiens. Jusqu'à présent, l'Indonésie dépend toujours des exportations de produits de base. En conséquence, lorsque les prix des principaux produits d’exportation ont chuté, les exportations indonésiennes se sont également effondrées.
Cela arrive aussi maintenant. La croissance limitée des exportations de gaz autres que de pétrole et de gaz est principalement due à la baisse des exportations d'huiles végétales au troisième trimestre de 2018, qui s'est établie à -14,3% sur un an. En fait, ce produit représente près de 11% du total des exportations indonésiennes.
Cela semble inséparable de la baisse du prix de l'huile de palme brute (huile de palme brute/ CPO) au dernier trimestre. Citant Refinitiv, le prix du CPO du contrat de référence à Bursa Malaysia a en effet diminué de 6,53% entre juillet et septembre 2018.
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(RHG / dru)
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