Claviere et le cas des enfants rejetés, le dossier: "Violation systématique"



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À la frontière de Vintimille presque quotidiennement, la frontière de la honte est surmontée. Par conséquent, la nouvelle filtrée hier par le ministère de l'Intérieur ne peut être qualifiée de "hasard", selon lequel "dans la soirée du 18 octobre, la France a tenté de rendre à l'Italie même des enfants": ce n'est pas un incident isolé, cela depuis des années arrive, il y a un fichier qui le prouve. Il est donc inhabituel que les experts du ministère de l'Intérieur l'aient découvert lors de la mission à Clavière, où il y a quelques jours encore une autre intrusion de la gendarmerie française: c'est à partir d'avril qu'un rapport – rédigé par certaines organisations humanitaires – repose sur les tables du gouvernement Commission italienne et européenne. Et ce n'est même pas le premier.

Les tests

Dans ces pages, il y a des témoignages et des preuves photographiques sur les "violations systématiques des règles dans la gestion des migrants" par les autorités frontalières transalpines, qui sont devenues les protagonistes à la frontière italienne de "nombreuses expulsions de mineurs étrangers non accompagnés", "Actes contraires au droit international", "européens" et même aux "règles de Dublin". Dans ce cas, le conditionnel n'est pas obligatoire, car pour le reconnaître formellement, il existe déjà une ordonnance du tribunal de Nice en date du 22 janvier. Vingt pièces de plus attendent la peine. En bref, sur l'immigration, personne n'a la conscience tranquille, pas même ceux qui, au cours des derniers mois, ont accusé l'Italie de "contrevenir de manière irresponsable à ses obligations", avec des propos qui ont touché la crise diplomatique. Le dossier – également signé par Caritas – le révèle. Il est donc souligné qu'à l'intérieur des frontières italiennes "il existe toujours de nombreuses réalités dans lesquelles les droits des mineurs non accompagnés ne sont pas suffisamment protégés", ainsi que le sort de ces garçons qui tentent d'arriver sur le territoire français. Ce sont pour la plupart des jeunes d'Afrique sub-saharienne, "parfois âgés de 12 à 13 ans", à qui ils ne sont pas reconnus, ces droits qu'ils ne connaissent souvent même pas. Et quand ils les réclament, dans certains cas, ils se voient piétinés.

Les avocats

Les organisations italiennes, ainsi que d'autres avocats français et certains, surveillent la frontière depuis des années et ont signalé des cas "particulièrement significatifs". En mars 2017, par exemple, «T.» – un Érythréen de 16 ans – a été arrêté à la gare de Menton-Garavan par des agents transalpins accompagnés de trois autres mineurs et a été immédiatement renvoyé en Italie. "Dublin" ne prévoit le rejet automatique que pour les adultes, tandis que pour les mineurs serait gérée l'obligation de "garantir la protection, l'accueil et l'badistance". Dans le dossier, il est écrit que «T.» a vu les agents français changer de date de naissance. Il a photographié pour cela la disposition selon laquelle «est annulé et modifié». Et c'est dans le dossier. Pour vérifier ce qui s'était pbadé, trois députés européens – en mars de cette année – se sont rendus au poste de police des frontières de Menton-Garavan: lors de la visite surprise, ils ont pu observer de leurs propres yeux la pratique consistant à falsifier la date du naissance », capitata« au détriment de deux mineurs ». Aller au rêve peut être risqué: en novembre 2016, une fille érythréenne a été tuée par un Tir alors qu'elle traversait un tunnel pour se rendre en France; En juin 2017, un garçon soudanais est arrivé sans vie, entraîné par le courant de la rivière Roja. Le reste est la comptabilisation à froid de 4 307 tentatives infructueuses. Ce ne sont que les chiffres officiels des jeunes ombres en fuite.

23 octobre 2018 (amendement 23 octobre 2018 | 22:48)

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