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Si Matteo Salvini a des ambitions en tant que dirigeant des souverains en Europe, Luigi Di Maio pense à la création d'un "centre" dans le futur Parlement européen. Mais si le Vice Premier Premier League a également pour objectif de nommer président de la Commission européenne – le nouveau Juncker, pour ainsi dire -, le vice-Premier ministre pentastellato est prêt à diriger un petit groupe de nouveaux partis, mais à Strasbourg, ses eurodéputés font déjà un clin d'oeil à la formation. Sovraniste: "Si nous échouons – dit Marco Valli des 5 étoiles à la presse – alors les forces de droite de Matteo Salvini et Marine Le Pen deviendraient notre option".
Mais allons dans l'ordre. Dans les pages du Corriere della Sera, le ministre de la famille, Lorenzo Fontana, le bras droit de Matteo Salvini, annonce pour le mois de février un événement, une sorte de "convention du parti souverain" pour lancer la candidature du chef de la Ligue à la direction du parti. Commission européenne.
"En février, au plus tard en mars, il y aura une grande convention des partis de l'identité à travers l'Europe, dans le but de présenter des points de programme communs, et peut-être que Matteo Salvini sera candidat à la présidence de la Commission".
Salvini pense donc se placer à la première place du concours européen. "Les Européens constituent un tournant important, peut-être historique,", déclare M. Fontana, "si l'alliance souveraine l'emportait, les traités changeraient finalement, sans que l'on pense à quitter l'Europe, qui n'est pas à l'ordre du jour".
Marco Valli, membre du Parlement européen M5S, s'adresse à la presse au sujet des projets pentastellati en Europe. Et il dit que Luigi Di Maio veut former et diriger un parti "centre" regroupant des partis qui ne sont jamais entrés à Bruxelles, comme les Finlandais de Muutos. Un projet fragile, du même aveu des promoteurs, car il existe un risque que ces petits partis alliés ne fbadent élire personne. Explique Valli:
"Mais s'ils n'élisent personne, notre projet s'effondrera et les forces de droite de Matteo Salvini et Marine Le Pen deviendront notre option".
En fait peut-être le seul, car les 5 étoiles excluent les autres formations: des Verts "inconsistants et financés par Soros" à Alde que "les conditions dites de licou", de Macron "qui sera un flop" à l'extrême gauche de Varoufakis qui "facture 50 mille euros pour une conférence". À ce stade, les souverains seraient "le moindre mal", explique Valli. Marcel de Graaff, eurodéputé du parti néerlandais du PVV de Gert Wilders et co-président du groupe ENF ("Nous ne rejetons pas une telle demande"), a été accueilli favorablement par la "Ligue du Nord" – de la Ligue du Nord Mario Borghezio.
Les propos de la députée européenne ont toutefois suscité un peu de mauvaise humeur entre Rome et Bruxelles chez M5S. Des sources européennes du Mouvement si influentes s’éloignent de Marco Valli
"Au sujet des alliances en Europe, les mots de Luigi di Maio en Italie à 5 étoiles étaient clairs: nous travaillons à définir les points de changement programmatiques en Europe, puis nous le présenterons à toutes les forces politiques qui souhaitent se mettre au travail pour le Citoyens et non contre les citoyens, il n'y en a pas et il n'y aura pas de plans B. Nous sommes une force alternative à celles du système (Ppe et S & D) et aux différents partis souverains et ultranationalistes présents en Europe ".
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