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Lundi 29 octobre, c’est la journée mondiale de l’accident vasculaire cérébral. Qui est concerné ? Quels sont les facteurs de risques ? La Société Française Neuro-Vasculaire entame une campagne de sensibilisation.
Le slogan de cette journée mondiale de l’AVC du 29 octobre ? “L’AVC, nous sommes tous concernés !” clame la Société Française Neuro-Vasculaire (SFNV) dans sa campagne de sensibilisation au grand public de l’accident vasculaire cérébral. En France, 800 000 personnes ont souffert d’un AVC quand 500 000 en ont gardé des séquelles, soit 75% des survivants. On dénombre 140 000 nouveaux cas chaque année, dont 30 000 conduisent à un décès.
L’AVC, un fardeau pour tout le monde
La Société Française Neuro-Vasculaire rappelle que l’AVC est une des principales causes de mortalité au monde. Il est un fardeau pour tout le monde. Première cause de mortalité chez les femmes, avant même le cancer du sein. Il est aussi en pôle position de cause du handicap chez l’adulte et deuxième responsable de démence après Alzheimer. D’ici 2030, le nombre de décès dus à un AVC est estimé à 7,8 millions.
L’AVC ne touche pas uniquement les personnes âgées. 25% des accidents vasculaires cérébraux interviennent chez les moins de 65 ans. Parmi les facteurs à risque, il y a bien sûr des causes médicales comme l’hypertension artérielle, le diabète ou encore l’obésité. Mais le mode de vie joue beaucoup, lui aussi : le tabac et l’alcool sont notamment pointés du doigt. Il existe aussi des facteurs socio-environnementaux comme la pollution atmosphérique, ou la consommation de drogues.
Les femmes sont le plus touchées par l’AVC
On remarque une augmentation du nombre d’AVC chez les jeunes adultes. S’il représente moins de 1% chez les mineurs, il ne cesse d’augmenter chez les plus de 35 ans. La population la plus touchée est de bade féminin. Avec des facteurs en particulier comme l’badociation de la pilule contraceptive et du tabac. Elles connaissent par ailleurs des périodes à risque lors de la grossesse, la ménopause, la dépression et le stress psycho-social auxquels les femmes sont statistiquement plus exposées que les hommes.
Il existe des moyens de prévenir un AVC, résumés par la Société Française Neuro-Vasculaire. Notamment contrôler sa pression artérielle, contrôler son cholestérol tous les 5 ans, avoir une activité physique régulière, manger sainement en consommant des aliment peu salés. Et enfin, arrêter de fumer. La SFNV estime que prendre tous ces éléments de prévention en compte permettrait de réduire de 80% le risque d’être touché par un AVC.
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