Les alternatives high-tech à la cigarette électronique



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Son usage est controversé : outil de sevrage pour les uns, porte d’entrée du tabagisme pour les autres, la cigarette électronique, apparue en Chine au milieu des années 2000, s’est imposée en France. Avec 3,8 millions de ” vapoteurs “, l’Hexagone serait en effet le 3e marché mondial après les États-Unis et le Royaume-Uni, selon le cigarettier Japan Tobacco International (JTI). Les fumeurs de cigarettes traditionnelles ont vu dans l’e-cigarette un produit moins nocif : ni goudrons ni aucun autre composant toxique dégagés par la combustion du tabac. La toxicité précise fait toutefois encore débat.

Les détracteurs de la cigarette électronique s’alarment de sa vogue auprès d’un public non fumeur

À la place de la fumée, de la vapeur produite par chauffage d’e-liquides. Ceux-ci contiennent des doses variables de nicotine, responsable de l’addiction au tabac, qui permettent de combler la sensation de manque. Les vapoteurs peuvent en réduire progressivement la teneur en nicotine pour un sevrage progressif. Composés essentiellement de propylène glycol et de glycérine, les liquides renferment aussi un arôme.

Les détracteurs de la cigarette électronique s’alarment de sa vogue auprès d’un public non fumeur. Selon l’Office français du tabagisme, 6 % des jeunes de 12-14 ans ont ainsi testé l’e-cigarette. Parmi eux, 2 sur 3 (soit 4 % des jeunes au total) n’avaient jamais fumé auparavant. Ce public est une cible de choix pour de nouveaux venus sur le marché comme l’américain JUUL, qui a raflé 70 % du marché aux États-Unis avec des produits peu chers et des liquides fortement dosés en nicotine – qui ne sont pas encore commercialisés en France….



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